De Dorothy Lewis (qui est en réalité un monsieur) vous avez déjà lu Musique de chambre. Le voici qui se lance dans le cinéma cochon. d'habitude, je recommande fortement aux auteurs de notre écurie de ne pas écrire de livres dont les protagonistes font du sexe leur métier. Je trouve que le plaisir, quand il devient professionnel, perd beaucoup de son intérêt. Mais, quelques lecteurs s?étant étonnés que nous ne parlions jamais de sex-shops et de cinéma porno, qui font partie de la « vie de tous les jours », j?ai donc accepté ce texte. Après tout, l'histoire est bien racontée, elle rend un son un peu différent de ce que nous publions habituellement, laissons donc Dorothy Lewis nous jouer sa petite musique oeil est d'ailleurs violoniste, je crois.
Je vous laisse, donc, entrer au Cinéma cochon de Dorothy Lewis. Oh, ça n?a rien d'un chef-d'oeuvre, je le reconnais. Mais quoi, c'est un petit bouquin de cul assez bien... torché. Ça se laisse lire... On ne peut pas en dire autant de tous ces gros bouquins « littéraires » qui encombrent les librairies.
À bientôt, amies et amis, votre dévoué Esparbec
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