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Les contes de Côte d'Ivoire : la femme serpent boa

Couverture du livre « Les contes de Côte d'Ivoire : la femme serpent boa » de Marcelline Dembele Yobo aux éditions Edilivre
  • Date de parution :
  • Editeur : Edilivre
  • EAN : 9782332639387
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Ce livre est le fruit de ce qui fait l'essence culturelle de ce pays de la forêt et de la savane de l'Afrique occidentale : la Côte d'Ivoire. L'auteur ayant été à l'école des multiples cultures de son pays, d'où sa connaissance profonde des richesses culturelles de ce pays si singulier.
Dans ce... Voir plus

Ce livre est le fruit de ce qui fait l'essence culturelle de ce pays de la forêt et de la savane de l'Afrique occidentale : la Côte d'Ivoire. L'auteur ayant été à l'école des multiples cultures de son pays, d'où sa connaissance profonde des richesses culturelles de ce pays si singulier.
Dans ce livre, se côtoient, dans une harmonie parfaite, des contes gagou, des contes beté, des contes baoulé, des contes agni, des contes sénoufo. Chacun de ces contes raconte une histoire différente mais tous se nourrissent d'une même sève. Ces contes cherchent à amuser, comme tout conte d'ailleurs, en plus ils sont porteurs de messages qui sont le socle même de l'éducation du monde traditionnel ivoirien. Ce faisant, qu'on parle de choses, d'animaux ou de l'homme ; la société humaine reste irrémédiablement au coeur des préoccupations de ces contes car c'est avant tout d'elle qu'il s'agit.
Si les contes de Côte d'Ivoire se fondent sur les réalités de la société ivoirienne, les messages qu'ils véhiculent, la beauté artistique qui s'en dégage, s'adressent à tout homme soucieux de créativité qu'il soit Africain ou Européen.
Le monde est plein de mystères qu'un homme seul, fut-il grand, fut-il riche, fut-il jeune, ne peut creuser tout seul.
L'homme prétentieux pense toujours pouvoir seul cavalcader le monde, le monde finit toujours par tomber lourdement sur lui.
La vie n'est pas une peau de plaisanterie. Quand est-ce que le cavalier insouciant comprendra que les cheveux blancs appartiennent à ceux qui ont beaucoup entendu, beaucoup vu ! Et qui a beaucoup entendu, qui a beaucoup vu, est peut-être tout sauf un prétentieux.

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