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Les carnets d'un apothicaire Tome 2 ; les blouses blanches sur le pavé

Couverture du livre « Les carnets d'un apothicaire Tome 2 ; les blouses blanches sur le pavé » de Pierre Hamel aux éditions Dualpha
  • Date de parution :
  • Editeur : Dualpha
  • EAN : 9782353743476
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'auteur a participé à de manifestations de professionnels de la santé à Paris, de 1991 à 2015. Certaines pancartes ressortent de l'humour paillard et faluchard. La plaisanterie évite l'invective brutale. Les jeux de mots à caractère sexuel sont un inépuisable réservoir de l'humour carabin.... Voir plus

L'auteur a participé à de manifestations de professionnels de la santé à Paris, de 1991 à 2015. Certaines pancartes ressortent de l'humour paillard et faluchard. La plaisanterie évite l'invective brutale. Les jeux de mots à caractère sexuel sont un inépuisable réservoir de l'humour carabin. Ainsi sont traités de façon légère des sujets graves, ce qui n'enlève rien à la validité de la révolte. Mesures de maîtrise comptable, de modernisation, autant d'euphémismes pour blouser les Blouses Blanches. Les assurances complémentaires responsables, de plus en plus chères, remboursent de moins en moins bien. Le médecin de famille a laissé la place au médecin référent, puis traitant. Le patient doit évoluer dans le parcours de soins coordonnés, et donc avoir obligatoirement déclaré un médecin traitant. Dans un contexte de désert médical, cette contrainte, sous peine de pénalisation financière, ne fait qu'ajouter à la difficulté de se faire soigner. Ubériser les soignants n'est pas la solution. La santé n'est pas un comerce. Avons-nous les moyens de notre charité mondialiste ? Pour avoir une chance de s'en sortir, peut-être faudrait-il déjà commencer par respecter réellement le travail et par se dégager de l'électoralisme ! Peut-être pourrait-on alors remettre le train sur les rails pour que, accessoirement, les classes moyennes ne soient pas complètement laminées et condamnées à perpète à payer des impôts pour rembourser la dette souveraine. Il faudrait non plus fêtailler, mais ferrailler.

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