Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Déjà ébauché par les ambassades persanes
à la cour de Louis XIV, le goût de
l'Orient est aiguisé au XVIIIe siècle par la
traduction, entre 1704 et 1717, des douze
volumes anonymes des contes des Mille et
Une Nuits et par la publication en 1721 des
Lettres persanes de Montesquieu.
Au XIXe siècle, l'indépendance de l'Égypte,
la libération de la Grèce du joug ottoman et
la conquête de l'Algérie (1820-1830) impliquent
de plus en plus le Proche et le Moyen-Orient
dans les affaires européennes. Le
Maghreb et les pays du Levant attirent
alors les peintres français, anglais, italiens,
allemands, autrichiens, voire américains.
L'Orient devient l'inspirateur de couleurs
et de formes à destination d'une Europe
fascinée par le fantasme du Harem, par la
majesté de paysages ensoleillés aux décors
presque irréels et par la minutie narrative
des scènes d'intérieur abondamment pourvues
de tapis somptueux et d'étoffes chatoyantes.
Des «turqueries» du XVIIIe siècle aux peintures
de la France coloniale, l'étonnante
collection rassemblée par le musée d'art et
d'histoire de Narbonne retrace l'aventure
de cette peinture romantique et colorée,
entre Histoire et Orient de légende.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle