Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
L'intimité véritable dans Sylvie est celle que crée le rêve, et impose de voir la réalité autrement. L'intimité réelle est contestée et l'écriture de cette contestation est fondamentale et passe par le temps chez Nerval.
Le narrateur est bien fils de son temps. Du reste, l'intimité repose sur un temps partagé. Or le temps du narrateur est centrifuge. Il trouve son axe dans la conscience immédiate du sujet, qui dispose autour de lui une ronde d'époques, oubliant tout devenir. Lorsqu'il prend conscience du passage linéaire du temps, en ne retrouvant pas en Sylvie celle qu'il avait quittée, le narrateur est arraché à ses songes. L'intimité finale du narrateur et de Sylvie semble dérisoire : « Je l'appelle quelquefois Lolotte, elle me trouve des ressemblances avec Werther. »
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle