Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Le rire des mots est taquin. Un don oublié.
Il ne reste dans le piège que l'absence, toujours, ce non-sens coupable ou témoin, cruelle défiance envers une finitude à assumer.
Avoir su voler, du feu de l'éclair, l'ombre brûlée d'une écriture, pour au demeurant, tourner la clepsydre et chiffonner le silence, mais les heures comptées frappent au marteau et traduisent l'obsidional de la page majuscule , toujours une marelle (cartésienne quadrature et jeu)...
Faut-il , ainsi ... en laissant un doute questionnant, ne pas inverser l'adverbe, pour, malgré tout, changer le monde.
Il y a dans ces pages, une torture de l'insoumission et des patraques (de l'ironie) d'un temps forcené, qui raturent la littérature, la légende, la fable et même l'argutie aride de la philosophie.
L'heure ordinaire se partage avec le rien, l'inutile façon et l'eau coule, fraîche, dans la conque des mains.
L'histoire des rois est onciale.
Il était une fois.... ce temps séquestré, vermoulu des ruines qu'on relève, pour parfaire ce passé, d'une touche crayonnée....
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