« Il était encore à peine 7 heures, quand il eut fini de cribler de balles le jeune milliardaire et son épouse. Sans perdre une seconde et sans la moindre hésitation le tueur se dirigea tout droit vers le grand tableau qui ornait le mur gauche du salon de monsieur et madame KABOUKA. Il décrocha la peinture, et avec un petit canif qu'il sortit de sa poche, fendit le carton qui protégeait la toile dans le dos, y extirpa une clé en or. »
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