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"Quand, dans une étrange maison d'hôte, des crimes inexpliqués deviennent l'allégorie du roman comme on l'écrit, comme on le vit." Un polar conçu dans les règles de l'art. Un commissaire, des suspects forcément louches, de la victime en tas et, surtout, du crime, du vrai. Le tout dans une maison d'hôte cossue et sans histoires jusqu'à la disparition violente de ses pensionnaires assassinés l'un après l'autre. Les livres du commissaire Lasne l'ont rendu célèbre et il semble qu'il s'intéresse désormais autant au roman policier à écrire et aux autres romans possibles qu'aux enquêtes à mener, autant aux enquêtes à mener qu'à tous les romans possibles. Oui, Le Souverain Bien est un polar, un vrai. Mais ne vous y trompez pas, nous avons affaire à Tugny, et l'artiste étrange aux multiples facettes sait mieux que quiconque détourner les règles du roman, jouant de la langue et des pièges de la narration comme personne. Comme il est plaisant de se laisser embarquer à Phanopée, où le commissaire s'est réfugié pour écrire, forcément, et non pour enquêter, à moins que... Le Souverain Bien est un polar sur le polar, un roman sur le roman, un récit sur le récit, où l'enquête criminelle devient l'allégorie du roman comme on l'écrit, comme on le vit.
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