"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La recherche de quelque chose qui n'existe pas encore, tel est le programme de Tanjah. Cette recherche est poursuivie à l'intérieur d'un horizon constitué par la tentation du suicide, terme que ne rejoint qu'asymptotiquement l'inachevable quête poétique. Le sacre des fêlures s'apparente à un récit de voyage sans but, dont les mouvements répondent à l'attrait et à la répulsion exercés par la « capitale de la Zombie » : Paris, emblème de la dégénérescence médiatico-culturelle occidentale. Cette errance ramène toujours vers les déserts, les plages et les dunes qui sont le théâtre de visions érotiques et apocalyptiques. L'aube est le thème récurrent desdites visions: une aube qui a une signification à la fois sacrée et politique, mais aussi amoureuse. C'est encore elle qu'invoque Tanjah à travers celle qu'il appelle: « ma belle enfant, ma déchirure ».
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