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Frédéric Mistral a écrit : Il est maintenant évident qu'un peuple qui s'abandonne aux illusions de la philosophie humanitaire perd son patriotisme et toutes ses vertus. Place au Christ et au décalogue ! Hors de lui et hors de là il n'y a que pourriture, sauvagerie et dissolution. ( 25 mai 1871) Certes, la République, je l'aime toujours avec ferveur, toujours je suis pour elle enthousiaste, mais mon opinion sur les hommes n'est plus la même. J'ai considéré la conduite de ces hommes qui se proclamaient les amis de l'humanité, qui se donnaient la mission de régénérer le monde et de ramener l'âge d'or, et j'ai vu que c'était de faux prophètes et qu'en creusant au fond de leur âme on n'y trouvait que mensonges, orgueil et vanité ! J'ai admiré la sublimité des théories, la grandeur des entreprises et la pompe des paroles, j'ai reconnu en pleurant que la bonne foi était à jamais bannie de ce monde et que le bien ne pouvait triompher sur la terre ! Et alors, je suis rentré en moi-même, je me suis rappelé que, d'après le livre de notre croyance, il fallait que le monde arrivât au point de dégradation où il était aujourd'huiet qu'ils erraient grandement ceux qui, dans leur présomption et contrairement aux écritures, prétendent que l'humanité va en seperfectionnant tous les jours. Réfléchissez là-dessus et considérez quel est l'aveuglement de notre siècle. (13 mai 1848). Ah ! comme la démocratie est embêtante et basse d'instincts, et hostile à tout ce qui est élevé. Plus je vois cette doctrine se répandre, plus je deviens aristocrate. (25 mai 1871).
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