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Le Poste 1203 et l'ivresse du faux montre, sans précautions oratoires, comment Côme Ndongo, un universitaire noir, plonge involontairement dans les eaux glauques du faux pluriel et du racisme français pavlovien après la réussite à trois concours de l'Université d'Amiens (IUT de Creil). Commence alors en septembre 2003 un stage annuel en situation, légalement autorisé par le Ministre François Fillon. Mais, au quarantième jour de stage, la Directrice Patricia Weirauch-Mahieux organise un premier faux concours sur le poste 1203 qu'il occupe. En juin 2004, elle le licencie frauduleusement, en s'appuyant sur le Président de l'Université d'Amiens Gilles Demailly. Il saisit le Ministre François Fillon qui annule le faux concours, et ordonne sa réintégration. Naguère Professeur de référence, il subit une troisième année de stage dès septembre 2005. Mercredi 5 octobre 2005, la Directrice Patricia Weirauch-Mahieux appelle la police de Creil qui l'interpelle dans les entrailles de son université, lui enfile des menottes et le garde à vue. Le Ministre Gilles de Robien et le Secrétaire Général Pierre-Yves Duwoye le déclarent premier d'un faux concours des Professeurs Agrégés qu'il n'a jamais fait. Craignant un emprisonnement pour faux, Côme Ndongo refuse de rejoindre l'Université de Cergy-Pontoise... En février 2006, le Secrétaire Général Pierre-Yves Duwoye ordonne au Recteur Alain Boissinot de Versailles de le licencier sans dossier, et au Recteur Marie-Danièle Campion d'Amiens d'interrompre son salaire versé en cachette. Plus grave, le Secrétaire Général d'Amiens Laurent Gérin signe courageusement l'Attestation ASSEDIC qui fait pérambuler quarante-neuf faux. Saisi par Côme Ndongo, le pentateuque du Tribunal Administratif d'Amiens présidé par le juge Simon Formery fait, le 27 avril 2007, deux faux sur la procédure réputée infalsifiable, et sur le jugement de rejet. L'appel que l'universitaire interjette légalement à la Cour d'Appel de Douai en mai 2007 est jugé recevable. Reste que l'huissier Sylvain Ollagnon, en recourant à un faux, l'expulse de son studio creillois. Il écrit au Premier Ministre François Fillon qui lui donne encore raison en octobre 2007 et en décembre 2007, en saisissant les Ministres insoumis Valérie Pécresse et Xavier Darcos. Des marchands de la foi le jettent dans l'Hôpital Psychiatrique de Clermont en octobre 2007. Il en sort au bout de quelques jours car la science ne le trouve pas fou. L'enseignant appelle au secours : presse, TV, radios, syndicats, associations, partis politiques. Le Député Maxime Gremetz accepte d'encadrer sa grève de la faim victorieuse en mai 2008 : retour au poste, paiement des 470.000 de droits, versement de 600.000 de pretium doloris, etc. Se trouvant au Cameroun pour les obsèques de son père Pierre Onono, les Ministres Valérie Pécresse et Xavier Darcos saisissent secrètement et en son nom le Tribunal Administratif de Versailles pendant son absence de trois longs mois, délestant ainsi la Cour de Douai de l'affaire. A son retour du Cameroun, des émissaires du Haut-Commissaire Martin Hirsch le conduisent dans un hôtel parisien où ils l'abandonnent sans assistance. Il y fait une deuxième grève de la faim. On l'expulse de l'hôtel en février 2009. En riposte, Côme Ndongo cogite et révèle la face cachée de l'alleu qu'est l'IUT : 200.000 détournés en heures complémentaires faites par des fantômes, deux cents missions fictives, détournement de 2.000.000 au menu du restaurant universitaire, 2.000.000 évaporés dans les deux logements de fonction de Maurice Roussel, des dizaines de faux impunis en série... La péroraison réclame ses droits (poste et 470.000 ) et le versement de 4.000.000 de dommages et intérêts. Il a déjà déposé au TGI de Paris deux citations directes pour faux contre des Recteurs, Ministres et juges français en poste.
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