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Le polyparasitisme gastro-intestinal des ruminants - le polyparasitisme gastro-intestinal des rumina

Couverture du livre « Le polyparasitisme gastro-intestinal des ruminants - le polyparasitisme gastro-intestinal des rumina » de Achi Epouse Atse Y L aux éditions Editions Universitaires Europeennes
Résumé:

L'étude sur l'épidémiologie des strongles a été réalisée par des autopsies de 48 bovins, 144 moutons et 72 chèvres. Les espèces les plus fréquentes chez les bovins sont Hæmonchus spp (98%), Cooperia punctata (85%) et Cooperia pectinata (77%); chez les ovins, Trichostrongylus colubriformis (88%),... Voir plus

L'étude sur l'épidémiologie des strongles a été réalisée par des autopsies de 48 bovins, 144 moutons et 72 chèvres. Les espèces les plus fréquentes chez les bovins sont Hæmonchus spp (98%), Cooperia punctata (85%) et Cooperia pectinata (77%); chez les ovins, Trichostrongylus colubriformis (88%), Hæmonchus spp (66%) et Trichostrongylus axei (62%); chez les caprins, Trichostrongylus colubriformis (96%), Hæmonchus spp (82%) et OEsophagostomum columbianum (54%). L'intensité parasitaire suit une évolution saisonnière avec un pic en saison des pluies et un autre en saison sèche. Les strongles de cette zone climatique passent la saison sèche sous forme d'adultes d'où l'hypobiose insignifiante constatée avec Hæmonchus spp. Les animaux les plus parasités sont les petits ruminants les plus âgés, les bovins de 2-3 ans et les femelles. La morphométrie des mâles Hæmonchus a montré une circulation des trois espèces qui sont H. contortus, H. placei et H. similis. C'est la première description d'Hæmonchus similis en Afrique de l'Ouest. Cooperia punctata, Cooperia pectinata et Trichostrongylus colubriformis ont aussi une localisation abomasale.

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