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Contrairement à des personnalités artistiques telles que Jean-Pierre Saint-Ours, Alexandre Calame, Ferdinand Hodler, le peintre Georges Chaix (1784-1834) est resté dans l'ombre. Il est pourtant un chaînon majeur de la production artistique dans le premier tiers du XIX e siècle, entre les sujets antiques de Jean-Pierre Saint-Ours et les scènes héroïques helvétiques de l'époque médiévale de Jean-Léonard Lugardon. Elève de Jacques-Louis David à Paris, Chaix cherche à s'imposer comme peintre d'histoire à Genève sous la Restauration.
Notre étude restitue ses activités dans ce domaine ainsi que son intervention au sein de la Société des Arts de Genève, son enseignement à l'Académie de dessin, sa participation à la défense de l'indépendance de la Grèce et à l'introduction de la peinture troubadour dans la cité lémanique. À travers Georges Chaix, nous proposons une relecture de la production artistique genevoise sous la Restauration, notamment grâce à de nouvelles sources et à la découverte d'oeuvres inédites.
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