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j'ai aussi beaucoup aimé ce roman d'un auteur que je ne connaissais pas
Qui est ce soldat énigmatique qui se fait appeler Belleface ? Et quel est le lourd et douloureux secret qu'il dissimule avec tant de précautions à ses hommes ? Rescapé du camp de Treblinka, ancien légionnaire en Indochine, officier légendaire de l'armée israélienne, il commande un avant-poste dans le sud du Liban en 1985. Sa mission : protéger la frontière nord d'Israël contre les attaques du Hezbollah avec l'aide de quelques miliciens libanais à la solde de l'État hébreu. L'arrivée d'un jeune Français ardent et idéaliste au sein de cette communauté d'hommes confinés en territoire hostile, assiégés par un ennemi insaisissable, perdus dans une sorte de désert des Tartares oriental, va être un révélateur. Et faire apparaître le mystère si invraisemblable de la vie de Belleface, héros inconnu dont l'Histoire n'a pas retenu le nom.
Inspiré de la vie d'un personnage ayant réellement existé, Le Métier de mourir est un beau et grand roman métaphysique, marqué par un romantisme échevelé, où s'entremêlent, autour d'un individu hors du commun, des histoires d'hommes et d'amour, dans des paysages de commencement du monde, au rythme des balles qui sifflent et des Saintes Écritures.
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Printemps 1985. Israël s’est retiré du Liban après en avoir expulsé l’OLP, gardant le contrôle d’une zone tampon avec l’aide de l’Armée Sud du Liban. L’avant-poste de Ras-el-Bayada y a été placé sous le commandement du très respecté vétéran Belleface. D’origine polonaise, ce rescapé du camp de Treblinka a passé sa vie à combattre, d’abord comme légionnaire en Indochine, puis dans l'armée israélienne où il s’est élevé au rang de colonel. A cinquante-huit ans, le voilà à la tête d’une dizaine de miliciens, à surveiller route et mer par où peuvent à tout instant survenir les attaques terroristes du Hezbollah.
Sur ce bout de territoire chauffé à blanc par le soleil, entre poussière du désert et éclat aveuglant de la mer, le temps s’écoule au ralenti d’une interminable attente, passée en alerte permanente. Chaque fois qu’il prend son tour de garde à la barrière du check-point, chacun de ces combattants sait que le pire peut arriver, caché sous les apparences les plus banales. C’est donc avec au ventre la peur de l’imprévisible et la hantise de l’imparable, que l’on se laisse enfermer dans le huis-clos d’un drame annoncé, sous la menace d’un ennemi d’autant plus terrifiant qu’invisible et impalpable.
Dans cette fournaise qui ne demande qu’à exploser, les esprits gambergent. Favrier, un jeune engagé français fasciné par l’imposante aura de Belleface, s’attire la sympathie du vieux guerrier qui se plaît bientôt à projeter en lui le fils qu’il n’a jamais eu. Peu à peu se révèle le parcours douloureux et secret de ce personnage taciturne, inspiré de l’histoire vraie racontée à l’auteur par son grand-père, lui-même militaire de carrière. Cet homme, demeuré anonyme, prend au fil du récit la dimension d’un héros digne et courageux, incroyable trompe-la-mort désespérément condamné à la solitude par son exceptionnelle longévité dans le « métier de mourir », mais aussi sage et fataliste témoin de l’éternelle et folle faiblesse humaine, tragiquement soulignée par la litanie de ses références bibliques, extraites de l’Ecclésiaste.
La narration, puissante et sobre, exsude l’amour profond de l’auteur pour le Liban et témoigne de sa connaissance fine du contexte du pays. Casque bleu dans cette zone en 1985, il a lui-même assisté à cette guerre d’usure silencieuse, qui, à force d’attaques sporadiques et terriblement meurtrières, très souvent sous la forme d’attentats à la voiture piégée, a fini par permettre au Hezbollah de récupérer le terrain abandonné par les forces armées israéliennes. Et, alors qu’il est issu d’une famille de militaires, son livre est aussi une réflexion sur les valeurs qui motivent des hommes à s’engager dans le métier de soldat, par vocation et idéal, parce qu’à leurs yeux leur vie vaut d’être donnée pour la cause qu’ils défendent.
En mêlant les accents antiques d’une tragédie grecque aux sonorités modernes d’une guerre contemporaine, ce livre bâti tout en tension et profondeur, comme un fatidique compte à rebours vers ce que l’on devine d’emblée une dramatique explosion finale, fait résonner avec beaucoup de tristesse l’apparente infinitude des conflits qui embrasent le Proche-Orient, épicentre de nos civilisations, de nos religions, mais aussi d’une violence dont les vagues n’ont pas fini d’ébranler le monde.
J'ai gagné et apprécié ce livre. Je ne connaissais pas son auteur et je n'avais jamais lu d'ouvrage sur le thème du ' soldat' (quasi mercenaire) et de sa vie professionnelle sur le terrain.Le titre en est très révélateur car la mort est omniprésente tout au long de leur carrière. Malheureusement nous entendons parler trop souvent de conflits de guerre mais très peu des hommes qui sont sur le terrain par choix ou par obligation. Même au milieu du danger et de conditions de vie extrêmes et difficiles peuvent se nouer de belles amitiés. Nous découvrons la vie et l'histoire de Belleface par petites touches au milieu du quotidien d'un groupe de soldats au cours de 3 journées dans un point de contrôle entre le Hezbollah et le Liban.
J'ai découvert cet auteur grâce à Lecteurs.com, le sujet m'intéresse , forcément ayant un fils sur le terrain notamment au Mali pile au moment ou je reçois ce livre.
J'ai attendu quelques jours pour me plonger dedans, et je me suis laissée entrainer par le récit de Belleface, homme énigmatique, militaire, avec plein de secrets qu'il développera au fur et à mesure du livre.
J'aurais aimé plus de récit sur le conflit libanais.
>Cela reste un bon roman.
Jai gagné ce livre par le biais de lecteurs.com .
Curieuse de découvrir un récit sur le thème du ' soldat' sur le terrain .
Je n'ai hélas pas accroché ni avec les personnages , ni avec le récit en général ;
Trop de sujets abordés , pas assez creusés à mon gout .
Quelques descriptions du paysage m'ont cependant touché ;
p188 (... ) un halo de brume ou de nuages blanchâtres ( ... )
p222 il n ' y avait pas un souffle de vent et l air paraissait cristallin
Ce roman se déroule sur trois jours les 6, 7 et 8 mai 1985, à Ras el Bayada au sud Liban où l'ALS (Armée du Liban sud, milice libanaise chrétienne à la solde d’Israël) surveille un check point sous la menace d’une attaque du Hezbollah.
Le personnage central, Belleface qui cite régulièrement l'Ecclésiaste, est extrêmement populaire et porte de lourds secrets qui vont se faire jour au fur et à mesure du récit.
Il y a également Favrier, un jeune français ayant fuit la vie parisienne. A-t-il voulu échapper au matérialisme occidental, à la futilité de son existence? Est-il à la recherche d'un idéal, d'une direction à prendre? On aura des bribes de réponses au fil de la narration. Il admire les faits d’armes de Belleface et est très curieux d’en apprendre plus sur sa vie passée.
Selon l’auteur, Belleface est inspiré d’une personne ayant réellement existé.
Ce pourrait être un fabuleux personnage de roman, le début est vraiment prometteur et j’ai été emballée par la 4ème de couverture.
L'attente et la tension vont aller croissant. Je n'ai pu, dans un premier temps, m'empêcher de penser au Désert des Tartares, mais cela n’a pas duré. Très vite j'ai compris qu'inévitablement un évènement adviendrait, amenant un dénouement tragique.
Une histoire d'amitié, voire de filiation va naître entre Belleface et Favrier. Mais j'ai eu du mal à y croire. Je n'ai pu accrocher à aucun des deux personnages, alors que Belleface devrait provoquer de l'empathie. Mais il y a un manque de subtilité dans leur psychologie, je les trouve sans épaisseur.
Il y a trop de clichés, et rien de consistant sur les sujets abordés : les survivants de l’Holocauste, le parcours de certains jeunes occidentaux se rendant sur des lieux de conflit armé, l’islamisme et le fondamentalisme (légèrement hors cadre, ce récit se situant en 1985).
L’auteur cite La Boétie [Ils sont vraiment extraordinaires les récits de vaillance que la liberté met au coeur de ceux qui la défendent] Je n'ai aucun doute du sens de l'honneur et du sacrifice des militaires, mais de quelle liberté parle-t-on dans ce livre? Celle des vietnamiens, des palestiniens?
Je ne peux pas considérer Belleface comme un héros, ce que semble faire l'auteur. Un héros n'a pas sa place dans la légion française en Indochine, voire dans l'ALS. Un héros choisit mieux ses causes.
J'ai eu l'impression d'un grand bond en arrière et de me retrouver au temps des croisades. Orient contre occident, islam contre christianisme, le choc des civilisations.
[J'ai compris que cette terre est si belle qu'il parait tout naturel de vouloir se l'approprier. Et c'est peut-être parce qu'elle est si chargée de la présence de Dieu, que cette terre est si belle.]
Trop de références à Dieu pour moi, et cette terre "sainte", "promise" nécessite autre chose que des propos d'un autre temps. Les vrais héros seront ceux qui poseront leur kalachs, entameront un dialogue avec leurs ennemis et laisseront leur dieu à la maison pour leur usage personnel.
En résumé un personnage principal à la destinée incroyable mais des propos peu nuancés, des platitudes qui m'ont souvent hérissée.
Merci à lecteurs. Com de m'avoir fait découvrir ce livre.
Le titre du livre est tout de suite révélateur. Nous connaissons tous les conflits de guerre mais très peu les hommes qui s'y engagent. L'auteur à travers une belle amitié entre deux hommes nous fera partager le quotidien de ces soldats. Nous découvrirons ces personnages atypiques, leur passé, leur motivation, leurs rêves, leur pudeur et leur âme. Un très beau livre très profond. A lire !!!
Je remercie lecteurs.com de m'avoir permis de découvrir ce livre lors du dernier concours et comme demandé je vous invite à prendre connaissance de ma chronique.
Le métier de mourir de Jean-René Van Der Plaeten
Nous sommes en 1985, au Sud Liban, dans un poste avancé commandé par Belleface surnommé Le Vieux, par un jeune étudiant français Favrier venu rejoindre cette milice libanaise. Belleface n' est en fait que le pseudonyme pris par cet homme rescapé du Camp de la mort de Tréblinka ou toute sa famille sera assassinée, « clouée à la baïonnette par les SS contre les portes d'une casemate sous les ordres d'un officier SS Rottenführer Karl Schiffner » . Belleface a blanchi sous le harnais lors de la guerre du Vietnam s'étant engagé cinq années dans la Légion Étrangère. Légende de l'Armée israélienne, officier supérieur âgé de cinquante ans, célibataire, sans enfant, sans famille, il commande le poste avancé de Ras-El-Bayada armé de milicien libanais, sur la frontière du Liban et d'Israël, non loin de la ville de Tyr, proche de la méditerranée. Dans ce poste avancé le temps s'écoule lentement entre la surveillance à pieds de cette zone, le contrôle des véhicules désirant entrer dans l'enclave, les tours de garde au mirador rythmés par une relève toutes les deux heures. Rien ne semble pouvoir arriver dans ce lieu qui est toutefois une point de passage stratégique.
Mais, craignant à tout moment une attaque du Hezzbollah par l'explosion d'une voiture piégée, Belleface, ce vieux briscard maintient d'une poigne de fer la discipline de ses soldats. Dans ce poste, un jeune français Favrier, ardente, idéaliste, catholique est arrivé . Petit à petit entre Belleface et Favrier, une relation particulière semblable à celle qui lie un père à son fils se noue. Belleface comme on le lira dans différents chapitres de ce livre Le métier de mourir de Jean-René Van Der Plaeten, souhaite transmettre à Favrier, son expérience, son savoir militaire, non pas de manière intellectuelle, mais par l'exemple des situations. On les verra tous les deux effectuer, une exploration de leur zone à pieds, se protéger mutuellement lors d'une baignade dans la mer méditerranée assurant arme à la main la surveillance d'un petit défilé menant à cette crique fermée de rochers escarpés. Favrier, catholique affirmé est venu au Liban à la recherche des traces des trois religions révélées . Il est fasciné, intrigué par le Vieux. Quel est le mystère de sa vie ? D'où lui vient cette force tranquille, cette sagesse reconnue par tous les militaires qu'il côtoie comme son ami Avner Yarhi Officier Israélien ? Quelle est se secret douloureux que le Vieux cache ? Pourquoi tient-il tant à cette bible ancienne qui ne le quitte pas ? Celle du Père Tarkovski. Pourquoi répond-il à toute les interrogations de sa vie par les versets de L'Ecclésiaste ? ( qui parsèment les différents chapitres de ce roman). Toutes les réponses à ces interrogations vous seront données à la lecture de roman.
Le métier de mourir de Jean-René Van Der Plaeten est un livre que je vous recommande par la description des paysages sublimes du Liban, par ces histoires d'amours perdues. De la tendre enfance de Belleface entre un père médecin et une mère violoncelliste ou à sa femme, Ruth, assassinée par un terroriste alors qu'elle rentrait chez elle. Pour cette transmission de tout homme vers une descendance choisie ou subie. Pour cette réflexion sur ce métier si particulier de militaire, rendant hommage à tous ces hommes et femmes capables de donner leur vie pour leur prochain dans des terres si lointaines. Ce livre montre également la dureté du métier des armes, la douleur, de perdre un camarade. Vous croiserez une patrouille de La FINUL ( Force Intérimaire des Nations Unies au Liban ) établie en mars 1978 par le conseil de sécurité pour confirmer le retrait des troupes israéliennes du Sud Liban, rétablir la paix et la sécurité internationale et aider le Gouvernement libanais a rétablir son autorité dans cette région. « Belleface expliqua à ses hommes, qu'il ne voulait pas de démêlés avec les autorités militaires de l'ONU et encore moins acec les casques bleus français qui étaient selon lui, les seuls vrais combattants de la FINUL. »
Belleface et Favrier, deux hommes seuls, combattants cherchant chacun dans sa foi Dieu sur cette terre merveilleuse emprunte de sacré Le Liban.
Le métier de mourir de Jean-René Van Der Plaeten , aborde également le sujet de la vie après l'holocauste, la religion et sa radicalisation. On le perçoit nettement dans la bouche du colonel Belleface « En France, vous ne pouvez concevoir ce qui se trame ici car vous ne savez pas de quoi sont capables les Palestiniens ni les chiites du Hezbollah » sans que le jeune Favrier ne puisse répondre. « le Hezbollah n'est qu'un avant-goût de ce qui nous attend. Nous sommes là pour protéger les frontières du monde occidental en attendant que les nôtres ouvrent les yeux » ajouta-t-il.
Le métier de mourir de Jean-René Van Der Plaeten est un bel hommage rendu à tous ces soldats tombés sur le sol Libanais et quand vous aurez refermé ce livre, vous aussi , vous ne pourrez pas oublié Belleface et Favrier ces héros inconnus dont l'histoire n'a pas retenu leur nom. Bien à vous.
Belleface, le « vieux », est l’archétype du soldat baroudeur, du vétéran qui a traversé toutes les guerres, grâce à un mélange de courage, de compétence, d’expérience, de chance d’avoir eu le temps d’acquérir cette expérience, et d’une farouche volonté qui lui vient de son passé.
Juif polonais, il a connu l’horreur nazie. D’abord dans le ghetto de Varsovie, puis à Treblinka dont il est revenu vivant, miraculeux rescapé de la Shoah qui a anéanti toute sa famille.
Légionnaire en Indochine, il a été fait prisonnier à Dien-Bien-Phu après avoir survécu à la dramatique évacuation du camp tonkinois de Cao-Bang et à la meurtrière bataille de la route coloniale n° 4.
Il s’est ensuite engagé dans l’armée Israélienne, où il a atteint le grade de colonel, avant de rejoindre l’Armée du Liban Sud plutôt que de prendre sa retraite. Ses souvenirs sont remplis de fantômes : les membres de sa famille, la femme qu’il a aimée, les nombreux camarades morts au combat.
Favrier est un Français récemment arrivé au sud Liban. Ses motivations sont un peu floues. Le jeune homme lui-même se demande à un moment s’il est venu pour oublier un échec sentimental ou pour savoir qui il est vraiment. Le vieux soldat se prend d’amitié pour celui en qui il voit le jeune guerrier qu’il était quelques décennies auparavant. Il a envie de le former, lui transmettre son savoir. Mais sa sensibilité s’étant exacerbée avec l’âge, il ressent même une attirance filiale, au point de le considérer comme le fils qu’il n’a jamais eu.
Le récit présente une unité de lieu, Ras-El-Bayada, un check-point censé protéger Israël des attaques du Hezbollah palestinien. Il présente également une quasi-unité de temps, du 6 au 8 mai 1985.
La vie du camp où Favrier côtoie diverses nationalités, se passe dans l’attente d’une éventuelle attaque, que Belleface pense imminente, rappelant tout naturellement « Le désert des Tartares ». Attaque qui, si elle paraît inéluctable, peu prendre diverses formes et venir de partout, avec cependant une forte probabilité pour la route de Tyr et des véhicules piégés, qui fait espérer à tous les soldats ne pas être de garde à la barrière à l’instant fatidique.
À défaut d’action, les deux hommes échangent beaucoup, et se posent de nombreuses questions existentielles d’où la qualification de roman métaphysique. Belleface se retranche régulièrement sur des citations de « L’Ecclésiaste » qu’il répète à l’envi et qu’il tire d’une bible qui a une histoire particulière. « Le vieux » dévoile peu à peu à Favrier, soit directement soit par l’intermédiaire de tierces personnes, ce que fut son parcours jusque-là. Et ce qu’il hésite à révéler au Français, le lecteur l’apprend à travers ses réflexions personnelles.
Un roman surprenant, dans lequel un vieux soldat, une légende qui n’a connu que le combat persuadé que sa condition de Juif ne l’autorisait à aucune autre alternative, essaye de transmettre à un novice de façon presque philosophique ce qu’il a retenu d’une vie et d'un métier où la mort semble être la seule des réelles certitudes.
Merci à lecteurs.com et Pocket pour cette lecture.
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