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Le gâchis des généraux les erreurs de commandementpendant la guerre de 14-18

Couverture du livre « Le gâchis des généraux les erreurs de commandementpendant la guerre de 14-18 » de Pierre Miquel aux éditions Plon
  • Date de parution :
  • Editeur : Plon
  • EAN : 9782259194099
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Quelles que soient ses erreurs et leurs conséquences parfois dramatiques, un général n'est jamais jugé. Pierre Miquel le démontre avec des exemples définitifs pris durant la guerre de 14-18 : Joffre, Foch, Pétain, Nivelle...

La France n'est jamais prête pour la guerre. En 1940, ce sont les... Voir plus

Quelles que soient ses erreurs et leurs conséquences parfois dramatiques, un général n'est jamais jugé. Pierre Miquel le démontre avec des exemples définitifs pris durant la guerre de 14-18 : Joffre, Foch, Pétain, Nivelle...

La France n'est jamais prête pour la guerre. En 1940, ce sont les avions qui manquaient, en 1914 il s'agissait des canons lourds. Pourtant, ce n'était pas faute d'avoir des généraux. Dans ce nouvel ouvrage qui prolonge son travail monumental sur Les Poilus (Plon), Pierre Miquel s'attache à décrire les erreurs de commandement, aux conséquences humaines souvent tragiques, commises par certains de ceux qui ont dirigé la guerre de 14. "Le défaut moyen d'un général, écrit-il, ce n'est pas qu'il pense, mais qu'il veut être le seul à le faire." En 1940, Gamelin pense ligne Maginot ; en 1914, le même Gamelin, bras droit de Joffre, pense offensive. Résultat : 250 000 morts en deux mois. Quelles que soient ses erreurs, aucun général ne sera jugé, et pas davantage les politiques qui lui ont accordé tous pouvoirs. Néanmoins, certains de ces militaires seront limogés ou placardisés. La liste est longue : Joffre, Foch, Pétain, Mangin, Nivelle... Le livre de Pierre Miquel montre de façon saisissante que, s'il était bon de fusiller des caporaux, les généraux avaient, eux, droit à des égards, même s'ils s'étaient parfois lourdement trompés. S'appuyant sur des archives inédites et des témoignages nouveaux, cet ouvrage apporte des révélations saisissantes sur l'une des pages les moins glorieuses et les plus soigneusement occultées de la guerre de 14.



Pierre Miquel est unanimement considéré en France comme le meilleur spécialiste de la Première Guerre mondiale.

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