"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'administration coloniale française au Cameroun et particulièrement dans la Subdivision de Dschang a été très contraignante et même sanglante. Malgré les contestations des indigènes portées par les chefs traditionnels en ce qui concerne leur état civil notamment les mariages, force est restée à la loi. Sur tous les domaines de la vie publique et surtout privée, celle-ci a été le « noeud gordien » de la règlementation française au Cameroun. En réalité, le colonisateur français dans sa volonté d'implémenter sa politique sociale a mis en cause des valeurs et pratiques ancestrales conformes à la société traditionnelle. Le fait majeur de cette désacralisation de ces valeurs est l'introduction du divorce dans les moeurs des populations. Désormais les séparations de faits, jadis observées jusque-là, dans la Subdivision Dschang, se transforment en séparations de droit. La question que nous nous posons est la suivante : Quelles sont les raisons de l'introduction du divorce dans la Subdivision de Dschang ? En d'autres termes qu'est ce qui a poussé la population de la Subdivision de Dschang à acquérir d'autres « habitus » ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !