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Quand le général Lavallée engage Noah Wallace pour retrouver les assassins de sa fille Sophie, le profiler refuse de croire à sa mort.
Persuadé que la jeune blogueuse est en danger, mais vivante, il accepte la mission et mène l'enquête avec Clémence Leduc, sa troublante partenaire. Mais tous deux vont très vite se rendre compte que les ramifications de cette disparition sont beaucoup plus vastes qu'il n'y paraît et pourraient être liées à la récente vague de meurtres et de suicides inexpliqués qui frappent l'ensemble du territoire américain.
Hanté par les visions d'un petit garçon sans visage et d'un brasier d'où s'échappent des cris d'effroi, Noah va se retrouver au coeur d'une investigation menée tambour battant mais qui le mènera aux portes de la folie.
Sophie a été enlevée et son père a reçu une vidéo où on la voit morte, après avoir été torturée. Son amie Clémence se lance à sa recherche, espérant la retrouver vivante. Elle est aidée par quelques amis, dont Noah, qui a un pouvoir surnaturel : il a des flashs qui lui permettent parfois de savoir ce qu'il s'est passé dans les endroits où il se trouve. Tout au long de l'enquête, il a la vision notamment d'un enfant, brûlé par les flammes. Petit à petit, il pense que toute l'affaire est reliée à sa propre enfance, dont il n'a aucun souvenir. Beaucoup de personnes viennent leur mettre des bâtons dans les roues : CIA, FBI, mafia russe... le problème, c'est qu'il faut s'y retrouver dans tout ce monde ! L'affaire est en fait internationale
"Le brasier" est la suite du "tricycle rouge" de Vincent Hauuy. Nous retrouvons les personnage de Noah, Clémence et Sophie.
L'histoire : le père de Sophie engage Noah pour retrouver l'assassin de sa fille Sophie.
Noah est persuadé qu'elle est vivante. Aidé de Clémence, il va reprendre l'enquête que Sophie menait pour la retrouver.
Le rythme de ce thriller est soutenu, les chapitres sont courts et intenses, et alternent les récits de chaque personnage. Tous les protagonistes ont leur part d'ombre et de machiavélisme. Les "méchants" sont terrifiants et flirtent plus ou moins avec la folie. La fin est ouverte et laisse supposer une suite.
J'ai aimé ce thriller prenant, que j'ai lu très rapidement.
Ce que j’aime dans l’écriture de Vincent Hauuy c’est qu’elle est cinématographique mais du genre série américaine « 24 heures chrono » pas du genre gentillet d’une série française un peu lente. Dans cet opus pas de temps mort : de l’action, de la réaction !
J’ai retrouvé avec plaisir Noah, Clémence et Sophie. Noah et Clémence que j’avais quittés bien abimés dans le 1er opus se retrouvent pour rechercher ensemble Sophie mystérieusement disparue.
Une intrigue bien menée en dépit de quelques invraisemblances, peu d’effet de style, parfois un peu trop « gore » à mon goût mais le roman se lit bien,les personnages prennent de la substance et je commence à m’y attacher.
Affaire à suivre ….
C'est avec un peu d'appréhension que j'ai attaqué ce second opus des aventures du profiler Noah Wallace. Je n'avais pas été convaincu par le premier roman de l'auteur que j'avais trouvé un peu brouillon.
J'ai trouvé ce second tome plus clair. Bien que l'univers soit toujours complexe, l'écriture a gagné en fluidité à mon sens. Les personnages ont mûri depuis le premier et on a l'impression que l'auteur sait où il va, ce qui n'était pas forcément le cas dans le premier ouvrage.
Alors bien sur, tout n'est pas parfait, mais l'amélioration est notable et on peut donc espérer si il y a un troisième tome (peu de doute compte-tenu de la fin du deuxième et du nombre de portes ouvertes) un ouvrage encore plus abouti.
J'ai donc quand même pris un certain plaisir à retrouver les différents protagonistes. Des personnages très différents et bien travaillés. A noter que ce tome est à mon sens plus dur / sombre et plus violent que le second.
L'intrigue est encore une fois très liée au progrès scientifique (dans ce qu'il se fait de mieux mais aussi de pire), et on ne peut réprimer un frisson en pensant que nombre de ces expérimentations peuvent avoir une part de véracité.
Comme vous aviez pu le lire sur le blog il y a peu de temps, j’avais particulièrement bien aimé le tome 1 des aventures de Noah Wallace, « Le tricycle » (voir ma chronique : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/09/le-tricycle-rouge-de-vincent-hauuy.html), qui avait l’un de mes coups de cœur de l’été. Ici, on reprend les mêmes personnages (Noah, Clémence et Sophie), on recommence et j’aime toujours autant.
Lorsque le Général Lavallée contacte l’ancien profileur, Noah Wallace, ce dernier ne se doutait pas qu’il serait chargé de la mission de retrouver les assassins et tortionnaires de son amie, la blogueuse Sophie Lavallée et de la venger. Alors qu’il se lance sur leurs traces persuadé qu’elle est toujours en vie, il est accompagné de son ancienne comparse canadienne, Clémence, dont le terrible secret pourrait lui coûter beaucoup. Je pourrais vous dire encore beaucoup de choses sur l’histoire mais je préfère vous laisser la découvrir car ça n’en sera que meilleur pour vous.
Ce que j’apprécie particulièrement dans l’écriture de cet auteur, Vincent Hauuy, c'est sa facilité à faire des twists dans l’histoire, sans que l’on s’y attende quelques pages auparavant. Vraisemblables ou non, peu importe car la trame reste cohérente. Le côté psychologique des protagonistes retrouve à nouveau une place conséquente dans le déroulé de l’ «enquête ».
Comme dans le premier tome, on retrouve des thèmes récurrents comme des machinations, des complots dans les plus hautes sphères du pouvoir, l’empreinte de l’enfance et de l’adolescence sur les personnages une fois adultes,… Le côté gore s’est un peu apaisé mais ne croyez pas que l’on se retrouve dans le monde des Bisounours pour autant.
Rassurez-vous, ce n’est pour autant pas un simple copier/coller du premier ouvrage. On voyage toujours entre les Etats-Unis et le Canada mais on y rencontre de nouveaux personnages (je ne parlerai pas de personnages « secondaires » car chacun y tient un rôle majeur pour le déroulement) et une nouvelle intrigue, toujours aussi glaçante. Ne faire confiance à personne pourrait être l’un des conseils destinés aux héros. La fin se termine sur les chapeaux de roues (les chapitres sont courts, ce qui permet une montée en puissance du suspens, selon moi) et vous ne pourrez pas lâcher le livre avant d’arriver au dénouement, quitte à sacrifier quelques heures de sommeil (ça sent le vécu ici ;).
Me voilà donc définitivement conquise, à quand le troisième opus ?!? Petit conseil en passant, ce livre peut se lire sans que vous n’ayez lu « Le tricycle rouge ». Malgré tout, vu les allusions faites par l’auteur, je vous le conseille quand même pour en savourer pleinement la « complexité » et les enjeux de l’histoire.
Je tiens à remercier vivement les éditions Hugo Thriller pour leur confiance.
http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/09/le-brasier-de-vincent-hauuy-thriller.html
Comment résumer ? Le brasier, comme le tricycle, c'est un livre dont on ne veut surtout pas voir la fin arriver. Dans le même temps, on ne peut pas le lâcher... Dilemme !
Après le tricycle, j'attendais de savoir qui était Noah. Jamais je ne me serai attendue à ça ! Quant à Clémence... Bravo !
J'attends la suite avec impatience ;)
Tout au long de la lecture du Tricycle rouge d'abord, puis du Brasier, je me suis demandée où il allait chercher autant de violence et de noirceur car dans ses deux romans, il y a une surenchère dans l'horreur des crimes commis qui au final m'a quand même un peu dérangée. La fameuse scène du brasier est limite insoutenable, et pourtant j'en ai lu des polars et des thrillers violentes !
Mais j'ai beaucoup aimé le personnage de Noah Wallace et sa personnalité très énigmatique, ce profileur un peu médium, dont on ne découvre le passé que par bribes. le tricycle rouge nous apprenait un peu de son histoire à la fin avec le projet MK Ultra mais on ne sait rien de son enfance, de ses parents, de sa famille. « le passé de Noah est criblé de trous et de zones d'ombre. » le brasier nous apporte plus de réponses.
En bref, du polar plutôt efficace, qui respecte les codes, mais âmes sensibles s'abstenir !
Le Brasier. On y retrouve les protagonistes du Tricycle rouge : Noah Wallace, Sophie et Clémence. Le pitch, je vous renvoie à la 4ème de couv’. Allez, j’ai un bon fond. Le général Lavallée engage Noah Wallace pour retrouver les assassins de sa fille Sophie. Le profiler refuse de croire à sa mort. Il accepte la mission et mène l’enquête avec Clémence Leduc, sa partenaire. En parallèle, une vague de meurtres et de suicides s’abat sur le territoire américain.
Ce thriller est captivant. A l’américaine dirais-je. Bourré d’actions, de cliffhangers et très bien construit. Découpé en chapitres courts, sautant d’un personnage à l’autre, il ménage le mystère. On est très proche de la composition des séries TV. Le Brasier aurait fait un excellent feuilleton. L’univers de Vincent Hauuy est complexe.
Parlons un peu des personnages. Car c’est une des forces de Hauuy. Ils sont nombreux, denses, tous ont droits à la parole. Et comme la mise en scène est parfaite, tout cela s’enchaine à merveille. Outre Sophie et Clémence, ce roman fait la part belle à Noah.
Il est à noter qu’une lecture, en amont, du Tricycle Rouge est la bienvenue même si les deux ouvrages semblent pouvoir être lus indépendamment.
Noah sous son handicap, charrie avec lui des images, des visions. Sont-elles réelles ? Fait est qu’il n’a plus aucun souvenir. Pourtant à chaque instant, une émotion, un lieu ou un visage peut déclencher en lui un flot de souvenirs. Outre son enquête pour résoudre la disparition de Sophie, il porte en lui, une quête plus personnelle qui le hante. La vision d’un petit garçon et celle d’un brasier d’où s’échappent des cris d’effroi… Qui est-il vraiment ? Noah est-t-il lié à la disparition d’enfants à Charlotte. A cela vient se greffer de nombreuses questions. Le rôle de la famille Engelberg ? Hansel le père, propriétaire de Genetech, Karl son fils et Damien l’adopté, le tout rehaussé par le récit de Karl sur son enfance marquée par la domination paternelle. Au milieu des protagonistes, il y a Clémence, l’ancienne du CSIS (Service Canadien du renseignement de sécurité) et tant d’autres. Hauuy nous sert un fan de AC/DC sous les traits d’Abraham Eisik israélien, diabétique, hanté par la mort de sa femme, un ancien du FBI devenu un détective privé moisi, Bukowski, Andrew Clayton, chercheur à Genetech, Dimitri un mafieux russe attaché à la Bratva et de nombreux autres. Tous les personnages ont leurs identités et leurs tourments. De ce côté, c’est opulent.
Hauuy disperse les infos, les révélations. Entre le clonage, la vague de suicides, la génétique, le trafic d’organes, d’anciens nazis et le meurtre d’enfants. Le tout avec finesse. Comme je l’ai écrit, il n’y a pas le moindre ennui. Le Brasier est riche. Les chapitres alternent rapidement. L’écriture est aisée, d’une grande fluidité. Le lecteur progresse jusqu’au dénouement. Peu de surenchère. Juste un thriller fourmillant où l’on passe de découverte en étonnement. Le tout est totalement orchestré. Tout est parfaitement calibré à la hauteur d’un page turner.
De l’action, des rebondissements, des personnages typés. Tout est prêt pour un 3ème tome. Ça fait le job. La jaquette est belle et se distingue en librairie. Sa diffusion dans le réseau de distribution parfaite.
Pourtant, il me manque un truc. Le petit plus qui m’enthousiasme et me réjouis. Oui, j’ai été diverti par cette lecture. Cependant, peut-être est-ce dû à une boulimie de polar, j’y vois une légère lacune qui pour moi ne fait pas de ce bon thriller, un excellent roman. Un grain de réflexion, une capacité à contraindre le lecteur à un raisonnement, une opinion. Dommage car il y a de la matière.
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