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Marseille, 2016 :
En démontant le faux plafond d'un hôtel en travaux, un ouvrier tombe sur une boîte en fer rouillée contenant les souvenirs d'une vieille dame. Magdalena. Mais que se cache-t-il derrière cette photo de mariage ?
Son arrière-petite-fille, tenancière du Café de l'Ensaïmada, une institution culinaire à Paris, décide alors de partir à la recherche de ses origines majorquines qu'elle ignorait jusqu'alors. Elle quitte son quotidien épuisant pour la douceur et le farniente méditerranéens.
Dès son arrivée sur l'île, Anaïs va réveiller des secrets de famille cachés depuis des générations. Mais la tâche ne s'avère pas si facile. Miquel, le nouveau propriétaire de l'orangeraie qui appartenait à son aïeule, ne se montre pas du tout coopérant.
Majorque, 1935 :
Magdalena, jeune pâtissière, confectionne chaque jour des ensaïmadas, ces brioches majorquines entortillées et saupoudrées de sucre glace. Très vite, la guerre civile espagnole frappe aux portes de son village qui devient le théâtre d'affrontements sanglants et de drames familiaux.
Au péril de sa vie, Magdalena s'engage alors dans la résistance, avant de devoir s'enfuir vers la France.
Entre Majorque et Marseille, deux destins de femmes bousculées par la Guerre d'Espagne et un secret de famille, mais unies par une même passion : la pâtisserie.
C’est une très jolie lecture que je viens de terminer. Un voyage dans le temps et dans l’espace de lieux que l’auteure nous fait découvrir.
Le temps, c’est en 2017 et 1937/38 entre une jeune fille, Anaïs, qui recherche par hasard le destin de son arrière grand-mère, Magdalena, née en Espagne et qui s’est réfugiée à Marseille et Paris.
Cette odeur d’orange dont les effluves sont encore présentes dans mes narines, cette douceur, tant des fruits que de l’écriture et des sentiments décrits dans ce roman, m’ont rappelés un séjour dans un petit village près de Valence non loin d’orangeraies au moment où Béatrice Courtot écrivait ce roman.
Et les ensaïmadas que je ne connais pas, quel régal se doit être.
Ce n’est vraiment pas étonnant que ce roman ait obtenu le premier « Prix du Livre Romantique 2018 »
Un grand bravo pour ce premier roman.
Ce roman est une petite pépite au bon goût d oranges...
Ce roman m'a emporté sur l'île de Majorque que j'ai appris à connaître en suivant les parcours de Magdalena en 1935 et de son arrière petite fille Anais en 2016.
Avnais découvre une boîte contenant les souvenirs de Magdalena et décide de se lancer dans la recherche de ses origines.
Ce roman est superbement bien documenté, j'y ai appris pleins de choses sur Majorque, sa culture, son histoire.
Ses 2 héroïnes sont des femmes de caractère qui m'ont séduite.
Cette lecture est gourmande, dépaysant, familiale, poétique et romantique.
Depuis je voudrais tester les fameuses ensaimadas et manger une bonne orange.
Ce roman a obtenu le prix du livre romantique ce qui nous indique déjà plus ou moins sa teneur.
Anais , une jeune célibataire vit à Paris où elle possède un café dans lequel elle sert une spécialité de sa fabrication, les ensaïmadas, pâtisserie dont la recette lui a été transmise par son arrière-grand'mère.
Le jour où elle reçoit un appel téléphonique du service des " objets trouvés " de Marseille lui annonçant qu'un ouvrier rénovant un hôtel a trouvé une vieille boite rouillée contenant une photo jaunie, une médaille, une balle de fusil et un cahier de recettes ayant appartenu à Magdalena.
Anais qui ignore tout des origines de son arrière-grand'mère va se lancer sur les traces de son passé et se retrouver à Majorque.
Une belle histoire, de beaux paysages, de la romance mais des situations plus ou moins floues, en fait une lecture gourmande et irrésistible qui nous fait passer un bon moment de détente ...... un peu trop fleur bleue à mon goût car ce n'est pas le reflet de la vie de tous les jours .......
Cette lecture est une belle surprise. C'est aussi la découverte d'une nouvelle auteure que je vais suivre de près. Mais c'est surtout une brèche pour découvrir davantage sur la guerre civile espagnole car je me rend compte que tous les ouvrages qui lui sont consacrés me passionnent.
http://magrandelibrairie.over-blog.com/2018/11/la-vallee-des-oranges.html
"La vallée des oranges avait été à la fois le théâtre de la haine et de l'amour."
La pâtisserie est le lien familial de trois générations.
Le livre jongle, sans peine pour le lecteur, entre les villes de Marseille, Soller sur l'île de Majorque et entre deux époques s'étalant de 1935 à 2018.
Si vous avez déjà visité ce petit paradis, vous allez ressentir l'ambiance, les lumières, la chaleur du soleil et vous rappelez ces grands champs d'orangeraies comme "La finca".
Une romance sympa qui se lit facilement et qui mérite le prix qui lui a été attribué "romantique".
Chronique complète sur mon BLOG : https://vie-quotidienne-de-flaure.blogspot.com/2018/09/La-vallee-des-oranges-Beatrice-COURTOT.html
http://croqueuse-livres.weebly.com/accueil/la-vallee-des-orangers-beatrice-courtot
Vous sentez cette légère brise dans vos cheveux ? Sentez-vous l'air iodé ? La chaleur du soleil sur votre peau ? Et maintenant vous vous déplacer dans une vallée et tout autour il y a des orangers. Vous vous approchez d'un arbre et déjà l'odeur de l'orange arrive jusqu'à vous. Vous prenez un fruit dans votre main. Vous sentez sous vos doigts sa peau granuleuse. Maintenant vous le coupez, vous l'épluchez et vous croquez dans l’agrume. Et là, c'est une explosion en bouche : pétillant, ensoleillé, juteuse. Imaginer qu'avec cette savoureuse orange de Sóller vous puissiez faire de merveilleuses pâtisseries comme l'ensaïmada.
Toutes ces sensations, odeurs, goûts, résument l'histoire de Béatrice Courtot. La vallée des oranges est une recette, un plat savoureux, doux, fondant en bouche et aux mille saveurs différentes, nous transportant à Majorque grâce aux magnifiques descriptions. J'avais tous mes sens en effervescence. L'écriture de l'auteure est sensuelle, sensible, qu'on a aucun mal à ressentir le texte. Je n'étais plus sur le canapé ou dans le métro, j'étais en Espagne, aux côtés de Magdalena, Anaïs et Miquel. J'étais à la fois en 2017 et en 1936 en pleine guerre civile.
En mois de deux cents pages l'auteure a réussit à m'envoûter, à me faire voyager et à m'électriser grâce à sa plume profonde et poétique. À la lecture du roman, j'avais du mal à croire que c'était un premier roman. Sa plume est douce, hypnotisante. Elle a su m'ensorceler comme un chant envoûtant. Elle nous transmet diverses émotions : joie, tristesse, à l'émerveillement, aux étoiles pleins les yeux... Son intrigue est bien construite et bien ficelée. Chaque mot est bien choisit. L'alternance du passé et du présent est bien maîtrisé et intelligemment réfléchit. En général, je suis plus attirée par les chapitres se déroulant dans le passé. Or, ici, j'ai été captivée par les deux temps. Je me sentais bien aux côtés d'Anaïs, partant sur les traces de son arrière grand-mère, cherchant ses racines. J'étais avide de rassembler tous les indices afin de trouver le tableau final. D'ailleurs celui-ci m'a coupé le souffle. C'est beau, dur et à la fois tellement bien fait, comme la vie et son hasard ou son destin...
Suivre l'histoire de Magdalena m'a fait vivre mille émotions. Je me suis attachée à ce petit bout de femme forte, courageuse et combattante. Une résistante... Le choix d'écrire ses chapitres à la première personne est judicieux. On s'attache, on l'aime, on l'admire.
L'auteure s'est documentée pour les faits historiques et ça se sent. Le récit n'en est que plus intense, profond. De plus, l'auteure a passé du temps à Majorque, ce qui rend les descriptions plus vraies. J'ai envie d'aller à Majorque ! De plus, Béatrice Courtot a parsemé son récit de recettes qui ont l'air absolument délicieuses ! C'est original, cela donne une vraie authenticité au texte.
Pour les cinq ans des Éditions Charleston, j'ai eu la chance de faire la connaissance de l'auteure avec qui j'ai passé toute la soirée. On a beaucoup parlé sur elle, son écriture et découvrir l'histoire du roman a ajouté quelque chose à sa lecture. Je suivrai de près la sortie de son prochain.
En conclusion, La vallée des oranges est une petite pépite. Il y a peu d'histoire écrite avec autant de poésie et de sensualité. L'auteure nous offre une histoire historique et romantique ! Laissez-vous emporter à Majorque, à Sóller en compagnie de personnages attachants. Un grand merci à la maison d'édition et à l'auteure pour ce merveilleux roman. A lire !
https://livresque78.wordpress.com/2018/04/12/la-vallee-des-oranges-de-beatrice-courtot/
Une terrasse, un peu de soleil, une boisson fraîche et pourquoi pas, quelques douceurs et vous êtes dans de bonnes conditions pour débuter votre lecture.
Une ambiance ensoleillée, sucrée où l’amour trouve également sa place. De Majorque à Marseille, de 1935 à 2016, Béatrice Courtot nous emmène en voyage par l’esprit, elle chatouille notre nez de senteurs pâtissières, sur fond de recherche de ses origines et de guerre civile, elle nous présente deux femmes fortes et courageuses, Magdalena est tout simplement admirable.
Nous découvrons donc Anaïs et son arrière grand-mère Magdalena, toutes deux amoureuses de la pâtisserie, une découverte de ses racines pour Anaïs et par conséquent un retour dans le passé…Un engagement dans la résistance pour Magdalena. Un alternance entre les époques vécues par les deux femmes, que près de 80 ans séparent donnent un rythme à l’histoire, qui s’en enrichie.
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