Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
La première pensée de l'art chez Heidegger, dans les années Trente, est une pensée de la violence : une "surpuissance " essentielle s'y impose, exigeant en retour un acte de création compris comme l'exercice d'une violence héroïque.
Cette conception est-elle abandonnée dans les écrits ultérieurs ? Une alternative est-elle alors proposée, quant à l'art, à cette expérience de la souveraineté dominatrice ? L'enjeu est important, si l'art, comme l'écrit Heidegger lui-même, engage la question de ce qui "décide conjointement de qui nous sommes ", s'il révèle le type de relations que nous entretenons avec une "vérité " qui nous figure, qui dessine ou sculpte les contours de notre propre apparaître, et donc aussi, sans doute, de ce qui constitue notre être-ensemble.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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