La possession est un art et encore plus une expression de notre volonté à vouloir faire ou à ne pas vouloir faire, à vouloir exécuter ou à ne pas vouloir exécuter. Mais prendre connaissance de ce que nous devons faire, cela n'est pas essentiel à notre bien-être, surtout quand ce que nous recherchons n'est que pire devant ce que nous n'avons pas et que nous n'irons jamais chercher. La solution de dire qui est qui et quoi est quoi est ce dans quoi revient et se retrouve généralement prendre ce qui n'est pas à nous. Cette première partie de la prospérité ou de ce que c'est que la prospérité ou les voies de prospérité pour la République Fédérale d'Allemagne nous parle de cette possibilité d'avidité nécessaire même si étant souvent preuve de l'envie de domination qui se transforme par ce que nous pouvons dire être normal et bien de faire et qui ne tue pas, mais fait évoluer. Mais est-ce la vérité ? Ce n'est pas ce que nous venons dire ici, mais le comment parvenir à entrer dans un environnement et en tirer profit sans que l'on ait à nous juger ou à nous dire que nous profitons du système qui est en place ou que nous avons créé.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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