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La presse illustrée, née en Angleterre avec le Penny Magazine n'a encore jamais fait l'objet d'une étude systématique. Le livre présente quatre générations de magazines illustrés généralistes, jusqu'au début du XXe siècle, qui ont participé activement à la diffusion des connaissances et de l'information. À partir des modèles anglais des trois premières générations, l'ouvrage montre comment d'autres pays européens les ont imités, traçant à chaque moment une frontière culturelle invisible entre les territoires dotés de ces médias et ceux qui ne l'étaient pas. Après 1832, les déclinaisons du Penny Magazine, dont en France le Magasin Pittoresque et en Allemagne le Pfenning Magazine ont assuré par le texte et la gravure la diffusion des "connaissances utiles". Dix ans plus tard, l'Illustrated London News, l'llustration ou l'Illustrirte Zeitung ont mis l'actualité en gravure. La naissance en 1863 du Penny Illustrated Paper et de ses équivalents, dont le Journal Illustré, ont élargi cette diffusion à un public plus populaire, avant que n'arrive dans les années 1880 une offre encore plus massive de gravures, devenues colorées, avec les suppléments illustrés des quotidiens à un sou. Le Petit Journal et le Petit Parisien ont dominé ce modèle né en Italie et développé en France. La période que couvre le livre se termine en 1905, alors que commence le déclin de ces suppléments illustrés et de leurs équivalents régionaux, tandis que la photographie s'est installée dans la presse aux dépends de la gravure.
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