Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Europe, 1348. La mort rôde. Les populations sont décimées. Le coupable ? Non pas la guerre, ni des massacres de masse, ni la famine, ni une catastrophe naturelle, mais Yersinia pestis, une simple bactérie, bientôt nommée la « peste noire ».
Depuis l'Antiquité jusqu'à l'épidémie de Marseille en 1720, ce mal a profondément marqué l'Occident, témoin notre usage encore courant de mots comme « pestiféré » ou « pestilentiel ».
Entre médecine, biologie, archéologie et histoire, Caroline Costedoat et Michel Signoli nous racontent, à l'heure où plane le spectre d'autres grandes épidémies (Ebola, grippe A/H1N1, sida, Covid-19, mais aussi la peste, par exemple à Madagascar...), comment nos ancêtres ont tâché de surmonter ces crises.
Un travail de rationalisation bienvenu, tant il est vrai que nous craignons encore la venue du jour où, « pour le malheur et l'enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse » (Albert Camus).
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