Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
" Le Calum Ruadh qui semble de nos jours, à Toronto, tenir tant de place dans les pensées et les conversations était donc mon arrière-arrière-arrière-grand-père.
C'est en 1779 qu'il avait quitté Moidart, en Écosse, pour venir s'établir dans le Nouveau Monde. Parfois, j'ai l'impression que nous savons beaucoup de choses à son sujet ; parfois, très peu. "Tout est relatif ", dit-on. Il y a des faits, voire des chimères, qui se transforment au gré de nos perceptions et de nos intérêts. " Alexander MacDonald raconte l'histoire de sa famille, la mort de leurs parents noyés au fond d'un lac gelé, un jeune mineur décapité par une benne dans une mine d'uranium et porté en terre par les siens.
Et l'amour qui l'unit à sa soeur jumelle et à son frère, toujours prêt à faire le coup de poing pour défendre leur honneur, quitte à perdre sa liberté. Comme les falaises du Cap-Breton, où se déroule la plus grande partie du récit, La perte et le fracas est un roman granitique, à la beauté austère, et qui assume pleinement sa " celtitude " : la langue gaélique, les légendes et les traditions des clans écossais y sont constamment présentes.
Mais c'est la force d'une émotion retenue qui en constitue le trait le plus marquant. C'est à nous tous que s'adresse Alistair MacLeod dans ce roman âpre et bouleversant où le passé et le présent ne cessent de se répondre.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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