La paresseuse, c'est Cynthia Sentenac, service que le narrateur a connue en 1969 durant un séjour linguistique en Angleterre. Spirituelle, indolente, capricieuse, incapable de se fixer, Cynthia va de flirt en flirt, rêve d'être chanteuse, poursuit ses études sans les rattraper, et incarne une décennie « où la paresse, l'indifférence, le dénuement furent considérés comme de véritables valeurs... » L'auteur de Dara, grand prix du roman de l'Académie française, et de La Statue du commandeur, revit avec humour et détachement son adolescence.
Que reste-t-il de tant de vagabondages, de caprices, de défis, d'enfantillages, de provocations, de chagrins ? Rien - et c'est à désespérer. Un roman - et c'est d'un puissant réconfort
Patrick ? Philippe ? Dans les Besson, je ne sais jamais lequel écrit quoi. Heureusement, j’ai une certitude, Luc, c’est le cinéma.
Donc, ici, il s’agit de Patrick. Et bien je crois que ce n’est pas le bon (pour moi)
Ce doit être Philippe que je préfère.
« La paresseuse », c’est l’histoire du narrateur, jeune écrivain, amoureux transi de Cynthia. Ennuyeux, sans grand intérêt. Agaçante cette Cynthia, et même lui est agaçant.
A tel point qu’à la moitié du livre, je l’ai refermé définitivement, sans aucun regret.
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