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Les Mères de mai, un groupe de jeunes mères de Brooklyn, ont fait connaissance en échangeant des conseils pendant leurs grossesses. Après la naissance de leurs enfants, elles se réunissent deux fois par semaine dans leur parc de Brooklyn pour discuter des joies, des craintes et des angoisses de leurs nouvelles vies. Un soir, pour échapper quelques heures à leurs routines, elles organisent une virée dans un bar. Elles parviennent même à convaincre Winnie, la mère célibataire du groupe, de confier Midas, six semaines, à une baby-sitter. Mais lorsque Winnie rentre chez elle, l'enfant a disparu. Alors que l'enquête piétine et que l'attention des médias se fait pesante, trois Mères de mai se lancent dans une course effrénée à la recherche de l'enfant durant laquelle les mariages vacillent, les amitiés volent en éclats et les secrets éclatent au grand jour.
Un best-seller du New York Times dès sa première semaine de parution.
Ce thriller psychologique, cette course contre la montre pour retrouver un très jeune enfant enlevé un 4 juillet alors que sa mère sort sans lui pour la toute première fois, est glaçant. Les rebondissements incessants nous perturbent alors que certaines des protagonistes nous proposent des suspects possibles, qui en fin de compte ne sont que des « red herrings » (de fausses pistes).
Des personnages fouillés et attendrissants, en particulier le groupe des mamans, qui cependant, tour à tour, nous semblent elles aussi suspectes, au fur et à mesure que nous découvrons leur passé par bribes.
De nombreuses ellipses émaillent ce roman que l’on ne peut poser malgré des efforts surhumains !
Un thriller comme on les aime, prenant et bourré d’action !
Une fin inattendue et bouleversante : que demander de plus ?
J'attribue une note de 3 seulement car vieux-jeux comme je suis, en dépit d'une histoire haletante et bien ficelée, les nombreuses coquilles et erreurs (de traduction, désolée, je n'aime pas critiquer mes collègues mais là, c'est trop) m'ont partiellement gâché le plaisir de cette lecture.
Erreurs d'accord: "je suis désolée" alors que c'est un homme qui parle, "j'y ai déjà survécue", infinitif au lieu d'un participe passé, ben oui, ça m’exaspère! Sans compter les "elle rentre à l'intérieur" et autres pléonasmes ou erreurs du même style, GRRRR, au secours, il y a encore des correcteurs dans les maisons d'édition?
Bon, en dehors de cela, j'ai adoré l'histoire et aussi le fait que l'auteur met en avant la pression parfois difficilement supportable dont les mères font l'objet de toute part, être des mères parfaites, des épouses pimpantes, reprendre le travail à 200% dès le premier jour alors qu'on ne pense qu'à son bébé, très pertinent, du moins je l'ai vécu et le vit encore de la sorte.
Avec un sacré "twist" à la fin pour un suspense intégral.
Prenez une pincée de Desperate Housewives, ajoutez une écriture à la Gillian Flynn, transférez le tout à New York, et vous obtenez La Mère Parfaite.
Entre faux-semblants et vrais secrets, la vie de ces mamans, en apparence « parfaites », va prendre des allures de cauchemar éveillé.
Qui, comment, et surtout pourquoi, a-t-on enlevé le petit Midas ?
Que cache Winnie, sa mère aussi mystérieuse qu’apathique ?
C’est ce que Colette, Nell et Francie vont tenter de découvrir.
Mais elles-mêmes ont des secrets à protéger. Des secrets qui pourraient bien quelque peu altérer leur vision de la vérité.
Et lorsque des ambitions politiques viennent s’emmêler au travail des enquêteurs, et que les médias mettent en lumière des choses que chacun aurait préféré garder dans l’ombre, l’affaire du petit Midas prend rapidement des allures de chasse aux sorcières.
Alliant mystère, humour, tension psychologie et rythme soutenu, la plume d’Aimée Molloy nous entraîne dans cette histoire plus compliquée qu’il n’y parait.
Et l’intrigue aussi bien que le style nous captivent jusqu’à la fin.
Une fin très réussie d’ailleurs, ce qui n’est pas toujours évident avec les thrillers sur ce thème, souvent utilisé, mais rarement aussi bien maîtrisé.
C’est donc en quelques heures que l’on dévore les 375 pages de ce roman, sans aucune envie de le reposer avant de l’avoir terminé.
De suppositions en nouvelles conjonctures, et de révélations en nouveaux secrets, les chapitres nous amènent à douter de tout et de tout le monde.
Et pourtant, même après avoir passé tous les protagonistes sous le microscope, la fin reste une réelle surprise.
Un thriller addictif et sans temps mort donc, avec une juste dose de tous les ingrédients nécessaires à ce genre d’exercice.
Un petit régal de lecture, au rythme enlevé et aux personnages soignés, qui nous embarque sans jamais nous ennuyer.
Aimée Molloy signe là son premier roman, et grâce à la qualité de celui-ci s’assure déjà un lectorat qui attendra le prochain avec impatience.
Un thriller psychologique parfaitement maîtrisé, addictif et très plaisant.
Bon… bof… l’histoire n’est pas très passionnante. Pas vraiment de suspens et des personnages très angoissés pour tout et relativement nunuches.
Ayant eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire parce que je n’étais pas très emballée, il m’a fallu un moment pour arriver à mémoriser qui était qui entre tous les personnages femmes avec leur prénom, les prénoms des enfants de chacune et celui des maris respectifs…
Si je suis allée au bout c’était pour savoir ce qui avait pu arriver au petit garçon mais en dehors de ça, j’ai trouvé l’histoire assez fade à mon goût et la fin plus que vue et revue, j’espérais plus d’originalité.
L’idée de départ, celle de la disparition d’un enfant, est bonne mais elle est selon moi pas assez approfondie.
Durant tout le roman j’ai un peu eu l’impression que tout était survolé sans que l’auteure n’aille au bout des choses.
Les protagonistes peuvent être nous-mêmes, des voisines, des amies. Cela peut plaire mais personnellement j’ai eu du mal à me les imaginer totalement que ce soit par leur physique, leur mental, ou leur vie de tous les jours. J’ai eu l’impression que beaucoup de choses étaient passées sous silence.
Finalement seuls les éléments en rapport avec la disparition de l’enfant sont évoqués. Comme si c’était uniquement ce point-là qui était important et pas le reste. J’ai eu l’impression que les autres femmes n’avaient plus de vie après cet évènement.
J’aurais vraiment voulu découvrir le quotidien de ces femmes et de cet homme, ils sont différents mais pourtant en lisant leurs histoires ces dernières semblent être toutes pareilles…
Les chapitres sont parfois courts et parfois longs mais ce n’est pas dérangeant.
J’ai bien apprécié l’idée des mails même si finalement il n’y a pas vraiment de rapport entre l’histoire et les mails. Cela aurait pu être intéressant de s’en servir pour créer un quotidien aux protagonistes, malheureusement ce n’est pas le cas !
Le style de l’auteure est assez fluide et on a envie de toujours en savoir plus. Certaines situations auraient mérité d’être plus approfondies.
Les indices de temps sont assez bien indiqués, mais par contre j’aurais voulu avoir plus de détails concernant les lieux… Je n’ai malheureusement pas pu me les imaginer et j’ai trouvé cela frustrant.
La fin est dans la lignée du roman, un peu trop floue et pas assez précise en ce qui concerne les descriptions.
En résumé, si vous êtes jeune maman, si vous aimez le mois de mai et si vous avez envie de lire le premier roman d’une auteure n’hésitez pas, ce roman vous plaira peut-être.
https://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0417
Je suis une kangour'août 2006 !
Une kangoo, pour les intimes.
En août 2006, j'ai eu le grand bonheur de devenir à nouveau maman et pendant ma grossesse, j'ai eu le besoin d'écrire, de parler, à d'autres futures mamans comme moi, sur internet, de toutes nos joies, nos petits et gros tracas, nos rires, nos pleurs, nos rendez-vous, notre quotidien...nos vies...
J'ai donc découvert et intégré les "kangoos" 2006.
Un groupe pour se conseiller, rire, se confier, s'entraider, se rassurer, tout partager.
12 ans après, nos enfants ont bien grandi, sont au collège, abordent plus ou moins différemment l'adolescence et nous, les kangoos, nous sommes toujours en contact, encore, pour un bon petit nombre d'entre nous.
Nous avons traversé tant de choses ensemble...
Bien sûr, il y a eu les naissances de nos bébés, les nuits courtes, les premiers pas, les premiers bobos, tout ça, mais il y a eu aussi les petits frères et soeurs, des mariages, des divorces, des déménagements, des incidents, la maladie, le décès...
Suffisamment d'événements forts, qui nous ont soudés à jamais.
Kangoo un jour, kangoo toujours !
Si je vous fais part de cela aujourd'hui, c'est parce que La mère parfaite, c'est l'histoire d'un groupe de jeunes mamans, Les mères de mai (sur mon forum, c'était les muguettes), qui m'ont fait penser énormément à toutes mes copines.
Elles vivent à Brooklyn et se réunissent 2 fois par semaine au parc de leur quartier.
Tout comme nous, elles discutent des joies, des craintes et des angoisses de leurs nouvelles vies.
Un soir, elles décident de se retrouver dans un bar, pour décompresser. Sans mari, ni enfant.
Ca fait drôlement du bien de quitter sa casquette de maman, le temps d'une virée.
Elles arrivent même à convaincre Winnie, mère célibataire, de confier, son petit Midas, à une baby sitter.
Mais évidemment, c'est le drame... le bébé disparaît, sans que personne n'ait rien vu...
En parallèle de l'enquête menée par les autorités compétentes, les mères de mai vont se lancer dans leurs propres investigations, pour retrouver l'enfant sain et sauf. Si possible...
Et derrière l'apparence de ces mamans si parfaites, il y a bien des cachotteries... Je peux vous le garantir...
La narration est assez intéressante. D'un chapitre à l'autre, nous oscillons d'un personnage à un autre. Par étapes.
Le suspens et la tension n'en sont que meilleurs.
J'ai adoré découvrir l'histoire de ces femmes, de leur couple, tous les mystères et secrets qui entourent cette tragique disparition.
J'ai réussi à me retrouver dans chacun d'entre eux.
Mais par contre, pas de réels attachements... et ça c'est plutôt embêtant...
Je me suis identifiée, mais c'est tout...
Des chapitres, un peu long à mon goût. On s'y perd, parfois. Tout se mélange.
Un roman dans lequel il est beaucoup (trop peut-être ?!) question de maternité et tous les soucis et contraintes qui l'accompagnent.
C'est parfois un peu saoulant tous ces conseils, ces références à la parentalité, à tous ces bouleversements hormonaux...
Par contre, le dénouement, sans me bluffer, a réussi à me faire retrouver un plaisant intérêt .
J'y ai trouvé une morale désarçonnante ... pas mal déconcertante, oui...
Malgré ses défauts, j'ai quand même passé un agréable moment avec cette lecture.
Je remercie Netgalley et Les escales pour leur confiance.
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