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Suzanne El Farrah El Kenz relate dans ce récit émouvant, mené dans une langue alerte et sobre, lhistoire de son exil et, notamment, le retour avec son fils vers une certaine maison du Néguev située aux proches limites de Ghazza. Cest la maison natale de sa mère défunte à laquelle sont attachés tant de souvenirs rendus douloureux par la spoliation.
Écrit comme un journal, à la première personne du singulier, La Maison du Néguev offre le regard dune femme qui sait croquer la grande histoire en deux mots et trois images, sans dramatisation ni pathos, sur le ton de la confidence tranquille ou apaisée, avec autant de gravité et de pertinence que dhumour.
(Lauteure, qui est aussi professeur de langue arabe et qui a vécu les trois premières années de sa vie à « Ghazza », choisit décrire « Ghazza » avec un « h » et deux « z », parce que cette transcription graphique est plus fidèle à larabe sur le plan phonétique. Le lieu est aussi un nom.)
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