La Maison de l'aigle, c'est cet immeuble du XVI? arrondissement investi par les services artistiques du Ill? Reich afin que le peintre Arno Zigfeld Hortz, chantre de la splendeur aryenne, puisse y mener à bien une oeuvre commandée par le Führer en personne. C'est ce monde étrange où Judith, naguère maîtresse des lieux, se voit réquisitionnée, compromise, condamnée à devenir le modèle d'un créateur tour à tour menaçant et désarmé, pour lequel elle éprouve une regrettable fascination. C'est cette citadelle occupée par Klaus Dieter, l'ennemi des arts «dégénérés», mais aussi de Teddy, tout à la fois faussaire américain, passager clandestin et résistant
insolite. C'est ce champ clos où se déroule une aventure artistique sans précédent, reflet des rapports de forces qui s'installent dans la France de 1940. Enfin, au bout de la route, là où les emporte ce train de l'ultime voyage dans lequel on les a obligés à grimper, c'est la folie de toute oeuvre poussée jusqu'à son accomplissement : la beauté et la mort.
Un climat étrange, une femme bizarre oscillant entre passivité et audace.
C’est pendant la guerre, les allemands occupent la maison de cette femme.
Je n’ai pas spécialement apprécié, sans bien savoir pourquoi.
L’histoire ? La personnalité des personnages ? Le style ?
Pourtant, c’était pas mal, mais allez savoir pourquoi, j’étais contente d’en avoir fini.
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