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«Au village, on l'appelait la Louve parce qu'elle n'était jamais rassasiée - de rien. Les femmes se signaient quand elles la voyaient passer, seule comme une mauvaise chienne, avec cette allure incertaine et soupçonneuse de la louve affamée : elle dévorait leurs fils et leurs maris en un clin d'oeil avec ses lèvres rouges, et les entraînait derrière ses jupes rien qu'en les regardant de ces yeux de démon, quand bien même ils auraient été devant l'autel de sainte Agrippine. Heureusement la Louve ne venait jamais à l'église, ni à Pâques, ni à Noël, ni pour entendre la messe, ni pour se confesser - le père Ange de Sainte-Marie de Jésus, un vrai serviteur de Dieu, avait perdu son âme pour elle.» Dans les paysages brûlants d'une Sicile rongée par la malaria, Giovanni Verga dépeint magistralement les combats et les tourments de ceux qu'il appellera «les vaincus de la vie». Quatre nouvelles par l'auteur des Malavoglia, grand classique de la littérature italienne.
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