Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
J'adresse »La galère de l'amiral» aux déprimés, aux grincheux, aux mauvais coucheurs, aux pisse-vinaigre.
Vous qui allez lire cette prose irrespectueuse, indigne d'un bon chrétien, baptisé, catéchisé, je n'en rougis point, que non ! Moi, le poilu en rupture de ban, qui le temps de la blague a déserté ses tranchées.
Le virus aurait-il aussi tué le fou rire ? Qu'à cela ne tienne ! Oui je l'avoue, je le confesse, à écrire ces lignes je me suis bien amusé, ô combien, à charrier mon saint évêque, à tracer le sillon de mon très saint amiral, de mon vaillant petit maire coco d'un rouge inoxydable, de mon Eléonore dont j'ai eu beaucoup de mal à la priver de son vin de messe.
Bon ! J'arrête là. Si je commence à tout dévoiler des facéties de mon inénarrable recteur missionnaire, avant que vous eussiez daigné jeter un oeil sur la première ligne de cette galère, mon éditeur, croulant derrière la pile des exemplaires invendus, ne s'en remettrait pas !
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