Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
La fin est tout à la fois un lieu du texte, un moment de la lecture et un acte conclusif. Elle soulève des questions tant d'ordre technique - où, quand et comment finit le texte ? - que terminologique : les mots « fermeture », « clôture », « fin », « chute », « dénouement », « conclusion », « explicit » n'ont en effet que l'apparence de la synonymie.
La fin du texte est à la fois une nécessité et une contrainte, une finalité et une cause, mais aussi du point de vue de la réception, un couronnement : le lieu où tout peut basculer, laissant au lecteur une impression de complétude ou au contraire, d'inachèvement - c'est l'oeuvre ouverte, tronquée, en suspens, - voire d'insatisfaction si ses attentes ne sont pas satisfaites - c'est alors la chute déceptive, la fin « ratée ». En raison de son pouvoir modélisant, la fin du texte soulève encore bien des questions d'ordre théorique, comme le rapport entre clôture et généricité - y a-t-il des modalités de fermeture propres à chaque genre littéraire ? - ou le lien entre clôture structurale et littéralité - en quoi la fin du du texte est motivée ? en quoi elle est motivante.
Le présent volume tente d'apporter des éléments de réponse à ces interrogations.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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