"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avant de la quitter, Simon a demandé à Iris de lui dessiner un tatouage sur le torse, comme une empreinte indélébile. Désormais seule face au vertige de la rupture, Iris cherche désespérément le souvenir et le goût de sa peau.
Multipliant les rencontres, elle plonge dans le monde de la nuit au risque de s'y noyer. N'était cette obsession : s'approprier le corps des hommes, parfois contre leur gré, pour graver de ses doigts bleus des signes qu'elle est la seule à pouvoir interpréter...
Après Latex etc, un premier roman écrit à vingt ans, Margaux Guyon signe un suspense psychologique sensuel et troublant sur notre rapport au corps dans un monde dématérialisé, et sur la violence taboue du désir féminin.
Laisser une trace…
Simon demande à Iris de lui dessiner un tatouage sur le torse avant de la quitter. Elle ne s’en remet pas. Plongeant dans le monde de la nuit, elle multiplie les rencontres et décide de tatouer les hommes qu’elle croise. Laisser une trace indélébile, choisir un signe, un dessin, comme elle choisit ses victimes. Des signes qui n’appartiennent qu’à elle. Une quête sans fin pour exprimer un mal-être.
Une histoire sombre et perturbante, La détresse d’Iris est saisissante, violente, triste.
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