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Dans un monde qui a conquis la mort, l'humanité sera-t-elle anéantie par les êtres immortels auxquels elle a donné naissance ?
Le sinistre maître Goddard se prépare à prendre le pouvoir suprême sur la communauté des faucheurs. Seul celui qu'on nomme « le glas » pourrait faire basculer l'humanité du côté de la vie...
La conclusion époustouflante de la trilogie La Faucheuse, en cours d'adaptation au cinéma par les studios Universal.
Suite et fin... plutôt optimiste
Une trilogie où les 3 tomes sont aussi bons les uns que les autres
Je ne saurai dire lequel des 3 tomes j’ai préféré car ils se complètent parfaitement.
Dans le 1er il y a l’aspect nouveauté où l’on découvre ce monde si particulier et ses personnages. Dans le 2ème le suspens va crescendo et on y découvre davantage de choses avec la mise en avant du Thunderhead, cette espèce d’entité qui veille sur l’humanité souhaitant en faire un monde parfait malgré la montée en puissance de certains faucheurs avides de pouvoir et de contrôle. Sans compter la fin qui nous laisse dans un suspens diabolique et pour lequel il aura fallu attendre le 3ème tome.
Dans ce dernier volume de plus de 800 pages, bien plus long que les 2 précédents, l’auteur nous fait languir un bon moment quant au sort de Rowan et Citra. Là encore l’auteur nous y révèle de nouvelles choses sur le passé de l’univers qu’il a créé et le suspens est au rendez-vous jusqu’aux dernières pages.
Une histoire que j’étais avide de lire en engloutissant les pages et que j’ai été déçue de finir, triste de quitter les personnages, ce monde et plus encore l’intelligence artificielle à laquelle je me suis le plus attachée, le Thunderhead.
Une bonne saga dont je garderai un bon souvenir et que je retrouverai bientôt apparemment puisqu'elle est en cours d'adaptation au cinéma parait-il... A suivre...
--- Une franche réussite ---
Contrairement à beaucoup d'autres lecteurs, je n'ai pas d'attachement particulier envers cette saga. Certes, j'ai apprécié les deux premiers tomes, mais je n'avais pas d'attentes élevées pour ce troisième opus. Cela explique peut-être pourquoi je l'ai autant apprécié.
Quoi qu'il en soit, je suis soufflée par ce final. Neal Shusterman a construit son scénario dans les moindres détails. Tout est minutieusement orchestré, de la plus petite action jusqu'au bouleversement universel ! Un travail d'orfèvre, si vous voulez mon avis, d'autant plus que l'auteur joue sur plusieurs temporalités !
--- Un rythme toujours aussi lent, mais… ---
…il est ici compensé par une intrigue d'envergure. Alors que cela me frustrait profondément dans Thunderhead, cela m'a ravie dans le Glas. Pourquoi ? Eh bien, de cette façon, j'ai eu le temps d'appréhender chaque point de vue abordé et, croyez-moi, ils sont nombreux.
L'histoire pourrait en perdre certains, c'est vrai, tant elle est riche de détails. En effet, l'auteur n'hésite pas à développer chaque axe, à creuser chaque personnage, à envisager chaque possibilité. C'est d'ailleurs parce qu'il existe une infinité de chemins possibles que l'intrigue surprend, et à maintes reprises.
--- Des personnages au service de l'histoire ---
Autre point qui a chiffonné bon nombre de lecteurs, nous ne retrouvons Citra et Rowan qu'après plus de 100 pages. Personnellement, cela ne m'a pas dérangée. En vérité, je ne m'étais pas vraiment attachée à nos héros, bien qu'ils soient très intéressants, je l'admets sans détour.
En fait, ce que j'aime dans cette trilogie, ce ne sont pas les personnages eux-mêmes, mais ce qu'ils apportent à l'histoire. Citra et Rowan tentent de ramener leurs pairs dans le droit chemin, Maître Faraday part en quête des origines des Faucheurs et Greyson… Ah, Greyson, il avance à l'aveugle, mais non sans ferveur. Ils poursuivent tous un but différent qui s'inscrit néanmoins dans une globalité qui les dépasse. Seul le Thunderhead est capable de comprendre. Il est d'ailleurs l'instigateur d'un plan à l'échelle mondiale…
Enfin, n'oublions Maître Goddard, l'antagoniste par définition. Prêt à tous les sacrifices pour atteindre ses objectifs, il se révèle fourbe, machiavélique et colérique. Certains traits de sa personnalité m'ont semblé un peu too much, mais il reste globalement crédible.
--- Une intelligence artificielle bienveillante, vraiment ? ---
C'est assez rare, non ? Dans la plupart des oeuvres de fiction, on s'aperçoit rapidement que remettre nos vies entre les mains d'une machine, aussi puissante soit-elle, est une mauvaise idée. C'est donc en cela que La Faucheuse est utopique – oui, c'est assez ironique, sachant que cette saga est une dystopie. Cependant, c'est bien l'homme qui est responsable des déboires de l'univers tout entier. Voilà donc ce que Neal Shusterman cherche à démontrer : notre faillibilité, notre imperfection. Mais là où certains s'acharnent à détruire, d'autres s'allient pour sauver ce qui peut l'être. Oui, c'est un cycle sans fin. Mais l'auteur parvient ainsi à retranscrire toute la complexité de l'âme humaine.
Alors, c'est vrai, le Thunderhead a réponse à tout et c'est un peu agaçant par moments. On pourrait même parler de facilités, mais je n'en tiens pas rigueur à l'écrivain.
--- Tourner la dernière page a été un réel plaisir ! ---
Le dénouement est un savant mélange d'action, de révélations et de suspense. Neal Shusterman clôt toutes les pistes qu'il a créées, sauf une. Celle d'un espoir pour l'humanité. Je ne vous en dirai pas plus, mais sachez que j'ai beaucoup aimé ce final. Moi qui redoutais cette lecture, j'en ressors plus que satisfaite !
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