Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Pour Pasolini, les «lucioles» symbolisaient les dernières lueurs émises par toutes les formes de contre-pouvoir sous la menace des lumières aveuglantes de la nouvelle société de consommation, du spectacle et des images (La Disparition des lucioles, texte de 1975). Or ces mêmes images, quand elles sont rigoureusement et modestement pensées, savent dépolluer les esprits et invitent à résister, comme l'a montré l'historien de l'art Georges Didi-Huberman dans Survivance des lucioles (Minuit, 2009), un essai adapté par Nicolas Truong lors du Festival d'Avignon 2013. En 2014, Georges Didi- Huberman est donc tout naturellement associé au projet de l'exposition «La Disparition des lucioles".
Un lieu. Ces «lucioles» porteuses de contestation et d'espérance occupent l'ancienne prison Sainte-Anne, au coeur de la ville d'Avignon. Durant un semestre, ce bâtiment désaffecté se fait le vecteur d'un puissant imaginaire mêlant les dimensions historiques, sociales, pédagogiques et esthétiques. Le décor saisissant des différents quartiers, des couloirs et des cellules, tous inchangés depuis le départ des prisonniers, dévoile plus de deux cents installations, sculptures, peintures, photographies et vidéos.
Une collection. Enea Righi, grand collectionneur italien, prête pour l'occasion de très nombreuses oeuvres, notamment conceptuelles, représentant la diversité de la production internationale des années 1970 à aujourd'hui. Seront également prêtées des oeuvres d'autres provenances : collection Lambert, fondation Pinault, Galleria Continua, studios d'artistes...
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