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Depuis le Ve siècle plusieurs édifices religieux se succèdent à cet emplacement.
La cathédrale, dite de « la nouvelle Major » s'élève à l'ouest des vestiges de l'église romane dite de « la vieille Major ». Mais les destructions et les fondations nécessaires à l'implantation de la nouvelle cathédrale ont par ailleurs révélé l'existence d'une troisième église paléochrétienne et d'un baptistère établis sur le même site : ainsi peut-on parler des cathédrales de Sainte-Marie-Majeure dite la Major.
La cathédrale de la Major ou basilique de Sainte-Marie-Majeure (la Major), évoque l'Orient par son style romano-byzantin. A l'instar de Notre Dame de la Garde, elle a été construite dans la seconde moitié du XIXe siècle, entre 1852 et 1893. Le commanditaire de la Nouvelle Major fut l'évêque Eugène de Mazenod. Trois architectes se sont succédé sur le chantier : Vaudoyer, Espérandieu et Révoil. La cathédrale de la Major se dresse sur une esplanade entre le Vieux-Port et le « nouveau » port de commerce, entre le quartier de la Joliette et le Fort Saint-Jean, au coeur du vaste projet d'Euroméditerranée dont elle est un des joyaux patrimonial.
Sous la forme d'un guide au visiteur richement illustré, cet ouvrage présente, outre l'histoire du site et de cet extraordinaire chantier architectural (le plus vaste en France au XIXe siècle depuis l'époque des grandes cathédrales médiévales), une description des monuments (nouvelle major, vieille major et alentours).
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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