Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
" Irak, plaine de Ninive. Période du récit : entre 1929 et 1987.E ntre la grande ville de Mossoul et la petite ville de Karemlash, le lecteur suit les traces d'un père puis celles de son fils, qui cheminent dans la constance de leur croyance, sur les routes du changement, de la modernisation et des bouleversements. Tandis que d'un petit couvent de Karemlash s'élève l'âme de Juliana, une sainte qui veille sur les âmes des Ninivites, sans intervention divine fracassante, mais dans un chuchotement intime qui parle au désir d'amour, de paix et de justice inscrit dans le fond de l'être. Comme l'écrit l'auteur : « Une vie que l'on oublie n'a pas de valeur. Pas de valeur, non plus, la nourriture, l'habillement et l'argent.
Chez l'être humain, le mal réside dans les choses qui n'ont pas de valeur. Pour cela, l'amour est au-delà du mal, ô chère amoureuse. » Nizar Abdelsattar a dédié son roman aux chrétiens de Mossoul, que l'organisation de l'État islamique a jetés sur les routes de l'exil, en 2014. Ces mêmes chrétiens qui représentent à ses yeux l'un des premiers fondements à l'origine de l'émergence d'une entité irakienne."
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