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Découvrez le nouvel opus de la série aux plus de trois millions d'exemplaires vendus à travers le monde.
Physique de rêve, longs cheveux bruns, visage en coeur. Sûrement le plus beau cadavre jamais retrouvé dans une benne à ordures. N'étaient les mutilations, le sang.
Alors qu'elle accompagne son ex-collègue, et amant, sur les lieux du crime, l'inspectrice Erika Foster rêve de se plonger dans cette affaire. Mais celle-ci n'est plus de son ressort maintenant qu'elle est passée chez les stups.
C'est donc clandestinement qu'Erika enquête et découvre un lien avec un autre meurtre non résolu. Même décor, même séduisante victime, mêmes entailles. Des femmes qui utilisaient toutes deux une appli pour célibataires et pensaient avoir rencontré le prince charmant.
Un serial killer sur un site de rencontre ? Autant dire une aiguille dans une botte de foin...
Convaincue d'être celle qui pourra débusquer l'assassin, Erika poursuit sa traque. Sans réaliser que c'est seule qu'elle s'apprête à plonger dans la gueule du loup...
Robert Bryndza, ancien acteur britannique né à Lowestoft en 1979, a commencé sa carrière d'écrivain avec deux comédies romantiques; Mais c'est en 2016 qu'il plonge dans le domaine du polar avec le premier titre consacré à son personnage enquêteur, l'inspectrice Erika Foster, "Fille sous la glace", publié en 2016. C'est rapidement un immense succès, propulsant Robert Bryndza au premier rang des auteurs de polars .
Il poursuit sa série avec "Oiseau de nuit" et "Liquide Inflammable", titres que je n'ai malheureusement pas lus, mais je compte bien me rattraper très rapidement. Le quatrième opus, "Jolies Filles" , que j'ai reçu grâce à Babelio, est un petit bijou: le style fluide, très agréable à lire, les nombreux dialogues, les scènes d'action extrêmement bien maîtrisées font de ce roman un des meilleurs que j'ai lus ces dernières années.
Un cadavre de jeune fille retrouvé dans une benne à ordure. Faute de preuves et d'indices probants, l'affaire est classée. Cinq mois plus tard, découverte d'un second cadavre. L'inspectrice Erika Foster, déçue de ne pas avoir été promue, avait démissionné et était passée aux Stups. Elle ne peut donc pas intervenir sur cette enquête. Mais c'est mal la connaître que de croire qu'elle va renoncer. Car le destin de ces jeunes femmes violentées, assassinées puis jetées dans une benne à ordures tels de vulgaires déchets, l'émeut et la révolte. Elle veut coincer le salaud qui a fait ça. Même si le prix à payer est de braver sa hiérarchie et de risquer la mise à pied.
Elle n'a de cesse de harceler James Peterson, amant et ancien collègue, de la laisser l'accompagner dans ses investigations.
Quelques jours après la découverte du second cadavre, Ella Wilkinson disparaît à son tour. Le hic est que le père de la jeune fille est un detective chief Superintendant à la retraite, ce qui donne à l'enquête un tout autre visage.
C'est alors qu'Erika fait le rapprochement avec cette affaire classée quelques mois plus tôt.
Entre doutes et détermination, impasses et véritables avancées, rebondissements et scènes d'action, le duo James-Erika va devoir jouer serré pour coincer le tueur, qui s'avère intelligent et doué pour effacer ses traces...
Un des + de ce roman est l'ambiance hivernale qui complique les investigations de la police: tempête de neige, routes verglacées, chemins impraticables, communications rendues compliquées...
Le second atout de "Jolies Filles": l'auteur décrit avec précision et clarté le fonctionnement interne des services de police de Londres et leurs interactions, faisant pénétrer le lecteur dans un monde inédit dont il décrypte les arcanes.
Un moment de lecture très agréable, une enquête passionnante, des personnages intéressants, la touche personnelle de l'auteur. Tous les ingrédients qui font qu'un roman policier sort du flot continu de parutions dans ce genre très prisé.
Robert Bryndza, réalise le quatrième opus de sa détective Chief Inspector, Erika Foster, avec ce titre : Jolies filles. Le décor : banlieue de Londres, août 2016, où l’on découvre dans une benne à ordures une jeune femme torturée : des dizaines de coupures, des fractures et sa mort causée par une l’incision de son artère fémorale.
Avec l’aide de son collègue James Peterson, ils partent sur le lieu de découverte du crime…Ainsi débute une longue traque, d’un sérial killer, dont nous suivrons à la fois, l’épuisante recherche semée d’embûches, et la description - en parallèle - de l’auteur des faits et de ses raisons l’ayant poussé sur les rives noires et tumultueuses du fleuve pulsions sexuelles.
Un malaise incongru à lire les motivations de ce tueur, car celui-ci n’a guère de sentiment de pitié ou de remords. Or, la volonté d’Erika ira de pair à le démasquer et arrêter la folie meurtrière de ce tueur psychopathe. Qui n’a de cesse de trouver d’autres jeunes filles avec le même modus operandi, de cruauté perverse et d’instincts sadiques…
Un récit fluide, prenant, haletant et parfaitement rythmé qui incite à ne plus lâcher ce polar ! Avec : les jolies filles, Robert Bryndza nous fournit ici un polar énergique, sans temps mort – oui, facile -, émouvant avec le caractère impulsif et irrépressible du personnage de l’inspectrice, dévolu à anéantir les œuvres diaboliques de ce tueur.
Merci à Babelio et aux Éditions belfond Noir, de m’avoir donné l’opportunité de découvrir cet auteur ainsi que son roman.
Quatrième enquête et nous retrouvons à nouveau Erika Foster après « Une fille sous la glace », « Oiseau de nuit » et « Liquide inflammable » publiés chez Belfond. J’appréhende parfois une baisse de régime lorsqu’il s’agit de série mais rassurez-vous, ce n’est pas le cas ici et Robert Bryndza a su garder mon intérêt de bout en bout. Bien que chaque livre puisse se lire individuellement, je ne saurais trop vous recommander de prendre le temps de les lire dans l’ordre et de faire connaissance avec Erika et son équipe sans rien omettre. Erika fait partie des premières personnes arrivées sur les lieux du crime, ici, une benne à ordures. Bien que cela ne soit plus de son ressort, elle va tout faire pour rester sur l’enquête quitte à prendre des risques. Un tueur en série utilise les réseaux sociaux pour choisir de belles jeunes femmes comme victimes… La narration si elle manque d’originalité reste très efficace pour nous garder en haleine. L’auteur alterne les chapitres courts et rythmés, tantôt du point de vue de la police et tantôt de celui du tueur, un vrai régal. On apprend précocement l’identité du tueur, cela aurait pu être frustrant mais ça n’a pas été le cas pour moi, au contraire j’ai trouvé que cela utile pour mieux apprécier la personnalité du tueur, les indices sont réservés à la police puisque nous lecteur nous savons déjà. Cela n’empêche pas une montée du suspense alors qu’on s’inquiète de qui sera la prochaine. Au-delà de l’intrigue, j’ai apprécié le travail sur le personnage d’Erika. Certes elle ne s’est en rien émousser, fidèle à elle-même, elle reste impulsive, défiant les règles mais c’est quelqu’un qui a vraiment à cœur le sort des victimes et la résolution l’enquête. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2021/01/17/38763559.html
En août 2016, un cadavre féminin lacéré et mutilé est découvert dans une benne à ordure de la banlieue de Londres. Aucune disparition n’ayant été signalée, le corps ne sera pas identifié. Quelques mois plus tard, le cadavre de Lacey Greene, est découvert dans des circonstances similaires. Torturée, la jeune étudiante a visiblement été retenue captive avant d’être assassinée et jetée dans un container à ordures. L’inspectrice Erika Foster accompagne son amant James Peterson, responsable de l’enquête, sur les lieux du crime. Elle n’est pas censée s’occuper de cette affaire car elle vient d’être mutée à sa demande à la brigade des stups. Mais frustrée de ne pouvoir participer aux investigations sur ce crime horrible, elle décide d’enquêter de son côté de manière clandestine sur l’affaire, et fait rapidement le lien avec la victime précédente qu’elle parvient à identifier. Outre les sévices infligés et la cause commune de la mort, les deux jeunes femmes étaient inscrites sur le même site de rencontre et avaient rendez-vous avec un homme le soir de leur disparition…
L’inspectrice Erika Foster est le personnage récurrent d’une série de romans à succès. Comme il s’agit pour moi d’une première lecture de cet auteur, je ne peux attester de leur réputation, mais je peux vous assurer que j’ai passé un très bon moment de lecture avec Jolies filles. Ne pas avoir lu les précédents tomes ne m’a pas dérangé dans la compréhension de cette intrigue, mais encore une fois, j’ai regretté de ne pas avoir commencé la série par le début, pour m’imprégner du personnage d’Erika, qui apparemment, a connu plusieurs déboires avec sa hiérarchie. Erika est acharnée, franche, intègre, prête à se battre en toutes circonstances pour faire valoir ses droits, défendre son honneur et bien sûr mettre la main sur les tueurs en série! Elle est ici servie, car le tueur de ces jolies filles est plutôt coriace, difficile à coincer tant il ressemble à Monsieur Tout-le-monde. Découvrir son identité très rapidement au cours de ma lecture m’a tout d’abord surprise, pensant qu’une part du suspense allait nous être enlevé… Mais il n’en est rien, au contraire, nous sommes les témoins « privilégiés » du tueur, de son intelligence et de son sadisme, mais également allons assister avec soulagement à ses erreurs et à sa perte. Le fait de suivre ses faits et gestes en parallèle de l’enquête policière, augmente la tension et le suspense jusqu’au dénouement.
Jolies filles n’est certes pas inoubliable, mais très bien mené, intense, difficile à lâcher et très divertissant! Je remercie également Net Galley pour cette lecture!
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