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ah ah ah !!!! il n'y a que l'auteur qui le sait (peut être)
Par curiosité, par amusement, par amour peut-être, Jessie s'est longtemps prêtée aux bizarreries sexuelles de Gerald, son mari. Puis un jour, elle s'est rebellée. Débattue. Avec une violence qu'elle ne soupçonnait pas. Et à présent la voilà nue, enchaînée à un lit, dans une maison perdue, loin de tout. Un cadavre à ses pieds... Un mauvais rêve ?
Non.
L'horreur ne fait que commencer. Et jamais le maître de l'épouvante ne nous a encore emmenés aussi loin dans la terrifiante exploration de nos phobies et de nos cauchemars...
14e livre de @stephenking refermée
Jessie et son mari Gerald sont partis dans leur maison de campagne pour s'offrir du bon temps, ce qui fait kiffer cet époux, c'est d'attacher sa femme, et pour ça, il as récupérer de jolies menottes, Jessie n'as jamais aimer ça, mais comme bonne femme aimante, elle accepte les délires de son mari.
Mais ce jour la, elle en as marre, elle se révolte, elle veut qu'il lui enlève, mais il veut pas, donc elle lui donne un coup bien placer et dans son ventre, et Gerald ne bouge plus.
Jessie vas rester plusieurs jours prisonnières de ces fameuses menottes, elle revivras sa vie, ce qui lui as fait subir son père quand elle as eu 10 ans, et feras parler sa vieille amie. Et Aussi son double Minouche et ça va beaucoup l'aider.
Mais est ce que ça suffiras pour qu'elle s'en sortes ? Est ce qu'elle seras assez forte pour se sortir de cette situation, autant physiquement que psychologiquement ?
J'ai vraiment aimer, c'est très spécial, mais ce livre prouve que Stephen King est un grand auteur, faire 400 pages sur un monologue de Jessy, faut être effectivement excellent, c'est haletant, passionnant, et parfois très émouvant.
J'ai apprécier tout ces petits personnages dans sa tête qui lui donne de la force, et aussi qui l'as décourage par moment.
C'est un peu difficile l'abus sexuel de son père, mais c'était très émouvant, et très triste, on as tous besoin de parler, et même des choses très graves, c'est aussi le message qu'a voulu faire passer l'auteur.
Et puis cette fin que j'ai adorer, a la Stephen King, inattendue, belle.
Ca était un bon moment passer avec Jessie
Encore un Stephen King me direz-vous? Oui mais King est resté et reste toujours excellent et son pouvoir imaginatif aussi magnétique. Alors pourquoi ne pas se replonger dans ce roman publié en 1992 (hé oui déjà!) qui prolonge l'avénement du rôle féminin tant prisé par l'auteur? Car une fois de plus le romancier met la femme, avec ses forces et ses failles, au coeur de l'intrigue et n'en fait pas un roman exclusivement féminin mais lui confère une intelligente complexité où les thèmes de la sexualité, le désir et le couple sont maitrisés, exploités avec virtuosité. Le maître a encore touché ma tête et mon coeur, et parfois mon estomac! Présentation:
Jessie, 39 ans, femme au foyer ne manque de rien. Mariée à un avocat, ils vivent confortablement et possèdent même une maison secondaire isolée près d'un lac, havre de paix, mais plus pour longtemps... Car Gerald aime les petits jeux sexuels et en particulier les menottes, ce qui n'est pas forcément du goût de Jessie. Quand bien même lui aurait-elle déjà fait la remarque, Gerald ignore, Jessie subit. En vacances près du lac, le fière avocat a réussi à se procurer des menottes de policier et veux, évidemment, les tester sur sa femme qui accepte à contre coeur. Mais le jeu prend une tournure inattendue quand un souvenir malheureux émerge de l'esprit de Jessie pour se matérialiser en un coup de pied bien placé sur le ventre et les parties intimes de son cher mari qui s'apprêtait à la violer. Le coup, violent, provoque une attaque cardiaque mais surtout sonne le début d'une très longue journée pour Jessie...
Menottée au montant du lit où il est impossible de se dégager, elle revit le jour de l'éclipse solaire de 1963 où, enfant d'à peine onze ans, elle vécu la fin de l'innocence auprès de son père. Au fur et à mesure du roman, elle s'évade malgré elle de sa condition de prisonnière pour revivre cette journée et ses conséquences. Conséquences qui lui ont valu de partager ses pensées avec d'autres "voix" internes qui se réveillent pour l'aider, l'orienter vers une possible sortie. Jessie va-t-elle réussir à s'échapper? Se réconcilier avec le passé? Vivre? La survie va être mise à l'épreuve lorsqu'un chien errant s'invite dans la maison et commence à grignoter Gerald sous ses yeux. C'était sans compter l'apparition dans l'ombre, d'un homme aux dimensions étranges un panier rempli de bijoux et de morceaux de cadavres...La journée va être longue, la lutte interminable.
Ce huis clos haletant est formidable et abyssal. On se demande comment l'auteur va faire tenir le lecteur en haleine pendant presque 400 pages avec une héroine menottée usant de tous les stratagèmes pour se libérer. Evidemment Stephen King a plus d'un tour dans la caboche et dégaine l'artillerie imaginative pour nos plus grands frissons. Je me suis vraiment interrogée en le débutant car cela me paraissait un peu long mais peu à peu l'effroi s'empare de vous, l'espoir renait pour être immédiatement balayé, l'horreur s'installe, le sang s'invite et la nausée monte. Car oui j'ai vraiment eu la nausée à cette lecture, les descriptions de certaines scènes sont saisissantes de réalisme et provoque un dégoût ainsi qu'une panique certaine. Le rythme s'accélère, on se surprend à parler tout seul et ordonner à Jessie de ce dépêcher. L'urgence de la situation est palpitante, l'aversion envers un père outrancier douloureuse et l'empathie furieuse.
Stephen King se sert une fois de plus de l'horreur au service de la psychologie, de l'improbable pour écrire un roman incroyable et profondément humain. La psychologie est abordée sous différentes formes puisque la survie qu'elle soit physique ou mentale revêt une volonté à toute épreuve. Car au delà d'une situation invraisemblable, il exprime la profonde blessure d'une enfant dont les voix ne se sont jamais tu. Sans surprises, ce roman est un coup de coeur ou mieux, un frisson glacé, qui s'accompagne d'une brioche et d'un thé vert à l'amande pour rester éveillé une nuit d'orage...
Avertissement:
- ne jamais, ô grand jamais, se faire menotter quel que soit l'objet.
- si vous n'en avez pas écouter le conseil précédent, prévoir une marge de manoeuvre suffisante pour se dégager.
-si vous n'en avez fait qu'à votre tête, prévoyez un téléphone à porté de main, ça peut toujours servir !
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J'adore l'écriture de Stephen King, mais je me suis beaucoup ennuyée pendant cette lecture. Cependant, l'histoire est intéressante. Dommage.
Mon deuxième Stephen King de la semaine. Encore un huis-clos. Mais quel huis-clos!!!
Pas de monstres, rien de surnaturel. Juste une femme, Jessie, enchaînée à son lit par son mari, qui a la malheureuse idée de mourir d'une crise cardiaque. Elle se retrouve seule au milieu de nulle part. Enfin seule, c'est vite dit... Il y a des démons, ses démons, ceux qui reviennent du passé. Et le chien.
Encore une fois, j'ai terminé le livre sans m'en rendre compte. Angoissant à souhait.
ah ah ah !!!! il n'y a que l'auteur qui le sait (peut être)
Une petite touche de surnaturel, cette présence nauséabonde dans la chambre qui donne l'impression de remuer des "osselets" dans un sac.
On entre de plein pied dans l'action... Un Stephen King qui fait froid dans le dos car cette fois pas de fantastique, tout est bien réel et on peut se mettre à la place de cette femme attachée à ce lit. Ca fait froid dans le dos !
tellement de détails qui m'ont donné la nausée !! excellent
Un huis clos mais magnifiquement orchestré par S. King, comme à son habitude
Un roman palpitant et effrayant.
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Et oui, et là réside tout le talent de conteur de Stephen King. Et le charme "angoissant" du roman.