Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
En librairie le 23 février 2010 Dans son recueil, Daniel Rondeau nous amène à la rencontre de personnages esseulés, qui, pour la plupart, ont abandonné la partie et se laissent porter par un courant de fond qui suffira parfois à les rendre sincèrement heureux. Derrière leur constat d'échec, sous cette épaisse couverture où ils s'isolent, se dessinent parfois des êtres dont la volonté de vivre dépasse des blessures aussi cruelles que banales.
Au travers de ces rencontres, se révèlent également les amours à la fois tranquilles et tumultueuses d'un narrateur que la dive bouteille finit par consoler, jusqu'à ce que le soleil se lève à nouveau.
Malgré le tragique des thèmes abordés, l'univers de l'auteur n'est jamais lourd. Son écriture est portée par une belle et grande sensibilité toute masculine. J'écris parce que je chante mal est un recueil de nouvelles saisissant, à la fois touchant et drôle.
Daniel Rondeau aime manier les mots de la langue française comme d'autres aiment savourer le chocolat. Détenteur d'une maîtrise en linguistique appliquée, il tente de propager sa passion à ses étudiants durant ses cours de français et de linguistique. Certains d'entre eux ne lui en tiennent pas rigueur. L'auteur a publié des textes ici et là. Il a remporté le prix Paulette-Chevrier 2006 pour sa nouvelle intitulée Graine de sésame. J'écris parce que je chante mal est son premier recueil de nouvelles.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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