Je ne dois plus migrer constitue un roman de pure fiction. Il essaye de mettre en relief les difficultés qui poussent la jeune génération d'aller chercher mieux ailleurs, donc migrer. De l'histoire rocambolesque vécue par d'aucuns, à la magie des mots pour d'autres, l'auteur a voulu concilier dans son oeuvre littéraire les mouvements sociaux qui caractérisent le passé d'un pays avec son présent, pour voir les fruits dans le futur. Il faudrait souligner que la patrie, pour un humain, est comme l'aéroport pour un aéronef. Donc c'est une manière pour l'auteur de chercher à exister dans un biotope qui n'offrait, jadis, aucune garantie de vie pérenne. Comment donc penser mettre un terme aux mouvements migratoires sur le globe terrestre ?
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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