Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Les villes aussi peuvent mourir. Oui, je me souviens de Paris, d'un Paris aux façades noires et aux recoins sombres, d'un Paris vivant, gouailleur, splendide... Je me souviens du Paris populaire. Son histoire commence avec Gavroche et s'achève avec la destruction des Halles, les années 1970. 150 piges, pas plus. C'est assez pour qu'un monde naisse et disparaisse. Reste à dire quel genre de vie on y menait. Comment les Parisiens parlaient-ils, s'habillaient-ils, mangeaient-ils, s'amusaient-ils ? Entre le sens de la famille et le goût des plaisirs, l'atelier et les boulevards, la chopine et la chicore, la boxe et la petite reine, la réplique qui fuse et l'argot qui image, le peuple de Paris affirmait sa singularité. Et si, avant la fin des haricots, l'atmosphère était ici à nulle autre comparable, c'était bien à lui, à lui seul, qu'on le devait.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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