Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Un projet protéiforme embrassant une réflexion autour du médium photographique et des modes de compréhension du monde (livre d'artiste).
Il n'y a plus rien à voir. C'est avec cette aporie que Nassim Azarzar conceptualise un projet protéiforme embrassant une réflexion autour du médium photographique et des modes de compréhension du monde. Si l'exposition ouvre avec un dispositif familier, 60 worlds in a box présente des photographies Polaroid sous verre classées dans une boîte en bois, rappelant un mode de classification scientifique et systémique, ce n'est que pour mieux affirmer dans ses autres propositions l'inéluctabilité du passage et du glissement de toutes choses, voire l'épuisement des formes, et par là l'échec de la grille de lecture rationaliste comme méthode unique de production des connaissances. Ce nouveau monde dont Azarzar nous offre les prémices est-il ainsi celui de la nature, d'un monde qui préexiste indépendamment des intentions humaines, ou au contraire celui d'un monde après l'Homme, posant une question éminemment contemporaine : qu'advient-il du monde après que l'Homme ait épuisé son image ?
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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