Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Il était un petit navire, il était un petit navire, qui n'avait ja-ja-jamais navigué, qui n'avait ja-ja-jamais navigué, ohé, ohé ! Ohé, ohé matelot ! Matelot navigue sur les flots (bis)
Voilà l'une des chansons d'enfance qui reste le plus en mémoire, tant l'histoire qu'elle conte est cruelle et poignante. Ce pauvre petit matelot sauvé in extremis par les poissons venus du ciel fait partie des personnages qui marquent l'imaginaire. Toniduran s'est emparé de cette chanson avec jubilation et en offre une lecture joyeuse et simple. Les couleurs tranchées de ses images en sérigraphie, le jeu avec les blancs, ses compositions cinématographiques, rendent à merveille l'enchaînement des évènements. Et l'on se sent bien soulagé lorsque le petit matelot se met à table... pour déguster les sardines providentielles !
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Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
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