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Il aurait du passer la balle à Kougloff

Couverture du livre « Il aurait du passer la balle à Kougloff » de Bernard Chatelet aux éditions Mutine
  • Date de parution :
  • Editeur : Mutine
  • EAN : 9782911573279
  • Série : (-)
  • Support : Papier
  • Nombre de pages : (-)
  • Collection : (-)
  • Genre : (-)
  • Thème : Non attribué
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

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Avis (1)

  • Klougoff, vous vous en souvenez ??? mais si, un très bon joueur du Game, vous l’avez souvent vu à la télévision !! Comme récompense, il fut Etalon et oui, vous avez bien compris, à lui les jolies pouliches ou alors, simplement banque du sperme… quant à Denis Patelin, alias « Peuk » il n’a pas...
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    Klougoff, vous vous en souvenez ??? mais si, un très bon joueur du Game, vous l’avez souvent vu à la télévision !! Comme récompense, il fut Etalon et oui, vous avez bien compris, à lui les jolies pouliches ou alors, simplement banque du sperme… quant à Denis Patelin, alias « Peuk » il n’a pas voulu passer la balle à Kougloff et, comme il n’était pas considéré comme un bon joueur, il fut envoyé à « l’Arche de Vie » et devient ldle-Consumer IC, autrement oisif à vie… Non pas si oisif que cela car, il FAUT absolument regarder le Game.
    La vie dans ce bâtiment « vieille coque radoubée pour traverser l’ère du Game » est sans surprise. Vous n’avez rien à faire… les WC (worker-consumer) vous apportent à manger. Tout est prévu, même les médicaments qui font de vous des moutons sans pulsion sexuelle ni même amoureuse. Mais attention, il faut parler la langue universelle : l’anglais et non pas le dialecte (français) !! Mademoiselle vient le voir tous les jours avec son tricot et lui apprend l’art de manier les aiguilles. Un petit concours s’établit entre eux à qui finirait le premier, alors qu’elle essaie de le faire parler sur ce refus dans le Game….
    J’ai oublié de vous prévenir, nous ne sommes plus en 2012 après JC, mais en 177 après F.B.
    Tout est surréaliste comme dans un tableau d’Yves Tanguy. Tout parait lisse en surface et cela fait peur, mais tout bouillonne à l’intérieur, enfin pour certains.
    Le temps s’écoule lentement « des années d’engourdissement, conscient, accepté, recherché. Combien ? vingt, trente ? Ne pas compter ! Immobiliser le temps. Chaque jour durant ces longues années fut pareil à chaque autre jour. Attendre le journal, attendre l’heure du Game, attendre le plateau-repas. Manger, c’est toujours bon. Toujours les mêmes goûts, tous bons ! »
    Un matin, il y eut une pièce d’échec tombée d’on ne sait où et le petit grain de sable grippe la machine à faire des zombis. La fin ? et bien à vous de la découvrir.

    J’ai lu ce livre alors que j’avais la grippe et les 40 de fièvre me posèrent au milieu du patio dans des rêves surréalistes. Ce ne fut pas facile à lire bien que l’écriture soit fluide, mais je n’aimais pas trop ce que les pages véhiculaient. Un futur pas réjouissant du tout, mais presque plausible, sait-on ce qui peut germer dans la tête d’un membre d’Euphoris. Je préfère écrire presque plausible car je suis très optimiste !!!

    La postface de Bernard Chatelet est salutaire pour éviter d’avoir à supporter réellement cette vision d’apocalypse qu’est le Game. Que vive le sport amateur et non le sport à mateurs.

    Un livre à lire. L’humour et la tendresse de Bernard Chatelet pour ces personnages en rendent, malgré la perspective peu réjouissante, la lecture ludique

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