Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
On connaît le rôle joué par les historiens dans la guerre de 14-18. Peut-être plus discrète mais tout aussi importante a été la mobilisation des archéologues et des historiens de l'art dans ce conflit, où la destruction de monuments et d'oeuvres d'art a été systématiquement imputée à l'Allemagne. Ces actes de "barbarie" venaient corroborer l'idéologie du combat du droit mené contre des ennemis inhumains.
Pendant la Grande Guerre, les historiens de l'art et archéologues - universitaires, directeurs de revues, théoriciens, érudits, inspecteurs du patrimoine, conservateurs, à la tête d'institutions culturelles ou responsables de fouilles - s'engagèrent sur le terrain ou à l'arrière. Les études réunies dans ce volume se proposent de contribuer à l'histoire des pratiques intellectuelles mises en oeuvre en temps de guerre, dans une perspective transnationale.
La guerre est ainsi appréhendée comme un "laboratoire", où naissent des méthodes et des savoir-faire nouveaux en matière de recherche, de restauration et de conservation.
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A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !