Fusilier marin ; commando de la France libre

• Date de parution : 01/06/2004
• Editeur : Italiques
• EAN : 9782910536497
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 64
• Collection : (-)
• Genre : Bandes dessinées
• Thème : Bandes dessinées Jeunesse
• Prix littéraire(s) : (-)

" Voici, par le texte et par l'image, l'aventure d'un jeune Français qui quitta son pays dans les jours sombres de la guerre pour rallier la France Combattante en Grande-Bretagne, avant de participer à la Libération de son pays. Cette histoire de ténacité, de courage et de camaraderie qui unit... Voir plus

" Voici, par le texte et par l'image, l'aventure d'un jeune Français qui quitta son pays dans les jours sombres de la guerre pour rallier la France Combattante en Grande-Bretagne, avant de participer à la Libération de son pays. Cette histoire de ténacité, de courage et de camaraderie qui unit aujourd'hui encore ces Français Libres à leurs compagnons d'armes britannique est racontée par l'un des membre de ces commandos relativement peu nombreux mais courageux, au rang desquels je suis fier d'avoir pu me compter. " Lieutenant Colonel Charles Vaughan Commandant le N°4 Commando franco-britannique Créée dans l'immédiat après-guerre par Maurice Chauvet, ancien membre des fameux Bataillons de Fusiliers Marins Commandos qui débarquèrent les premiers sur les plages de Normandie à l'aube du 6 juin 1944, le personnage de Lancelot, jeune parachutiste de la France Libre, a vécu ses premières aventures en images dans l'hebdomadaire Le Rassemblement en 1949-1950.
Superbement restaurée par les éditions Italiques pour le 60e anniversaire du Débarquement, cette étonnante bande dessinée d'époque, réalisée sur calque, à la plume et à l'encre de Chine, allie à une esthétique délicieusement rétro l'exactitude d'un document historique rare : de la célèbre école des commandos d'Achnacarry, en Écosse, où aucun photographe ne fut jamais admis, à la Libération de Paris, en passant par les ruines du casino d'Ouistreham et l'attaque de Caen, Maurice Chauvet était au coeur de l'action - une action qu'il nous fait revivre avec l'émotion du combattant qu'il fut et la précision du peintre de l'Armée qu'il était également.