Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Pour aimer la Cerdagne, il est impératif d'être amoureux des couleurs, pas de ces couleurs qui ont fait le succès d'une Renaissance peinte par des génies comme Leonard de Vinci, Michel-Ange et tant d'autres dont s'est fleuri le XVIe siècle. Non, il faut aimer les couleurs capables d'écrire « Guernica » ou encore « La Bataille de Tétouan » que seuls Picasso et Dali pouvaient raconter. Nos couleurs sont vives comme le sang du drapeau catalan, jamais atténuées par les brumes du coeur.
Pour aimer la Cerdagne il faut aussi savoir résister aux sons nasillards et criards des fifres, clarinettes et aubois, qu'atténuent un peu des tambourins venus imposer leur rythme lancinant à trois temps. La sardane joue avec nos nerfs, elle est comme ce vin âpre dont seul le viticulteur qui l'a fait perçoit toutes les rondeurs. Ces sons sont les nôtres et on se complaît volontiers dans l'atmosphère qu'ils remplissent.
Pour aimer la Cerdagne...
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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