Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Ce livre parle de Mai 1968. Deux personnages occupent la scène:Stéphane et Miss Nobody Knows. L'un et l'autre sont désespérés. Mais tandis que l'un ment, raconte et se raconte des histoires, l'autre fait de son angoisse un moteur pour elle-même, peut-être, pour les autres sûrement. Pour la narratrice, par exemple, qui, on peut l'imaginer, écrit ce livre à cause d'elle. Il s'agit à la fois d'une évocation et d'une enquête. Évocation de la grande grève de 1968. «Quelque chose se passe.» L'espoir, l'attente, la reprise, la déception, ou la stupeur, plutôt. Miss Nobody Knows en est comme la figure vivante. Elle ne cesse de poser des questions, les questions. Elle disparaît comme elle est apparue, sans explication ni justification. Elle reviendra. L'enquête, elle, concerne le suicide de Stéphane, oncle de la narratrice, brillant publicitaire, enfant apparemment gâté des Trente Glorieuses, et en même temps, noeud de contradictions, mauvaise conscience, une angoisse à faire payer aux autres. Comment, pourquoi, est-il mort? Qui était-il?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle