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"Dépêches du Vietnam" rassemble la dernière série de reportages de guerre de John Steinbeck, les chroniques écrites à partir de 1966 pour le magazine Newsday.
John Steinbeck, à 64 ans, est déjà un homme malade et fatigué - il mourra deux ans plus tard - quand il part pour couvrir le conflit qui mine l'Amérique. Mais il a beau connaître la guerre - il a suivi les boys en Europe en 1943 pour le New York Herald Tribune et a été blessé en Afrique du Nord - il est dérouté par ce qu'il découvre : une guerre qui ne comporte « ni front, ni arrières », écrit-il. Embarquant sur les vedettes qui sillonnent les deltas, volant à bord des hélicoptères Huey, il retrouve son fils. Est-ce l'une des raisons pour lesquelles Steinbeck, dans ses dépêches, soutient la guerre menée par l'Amérique ? Lui le défenseur des faibles et des opprimés, « l'écrivain social » qui en son temps fut soupçonné d'être communiste est devenu belliciste, mais est surtout « désespéré que ces merveilleuses troupes n'apportent pas une victoire rapide.
"Pour le reporter John Steinbeck, le Vietnam était une guerre juste. Il dut déchanter", L'Express.
"La lecture de ces dépêches, d'une qualité littéraire exceptionnelle, est stupéfiante", Les Echos.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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