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Lorsque la plume se tait, que l'encre se tarit, lorsque les mots demeurent scellés sur les lèvres, lorsqu'un poing rageur se lève, lorsque la politique se dresse sur ce qu'elle croit être son bon droit, l'on entend les bruits de bottes et les cris d'épouvante des soldats. Je bois les larmes des civils, de ceux restés chez eux à attendre la mauvaise nouvelle... mais la guerre, ce n'est pas que cela, c'est la guerre des nerfs, celle que nous avons livrée pendant la pandémie, durant ce très long confinement, c'est la lutte des femmes qui ne réclament que leur part, mais que certains ont du mal à leur donner.
La guerre, c'est la fin du dialogue, des échanges constructifs, mais c'est aussi une machine inovante, notamment dans le milieu médical, qui permet d'améliorer les soins par exemple, mais à quel prix.
La guerre, c'est l'homme, dans toute cette laideur que je vais vous conter, dans toute cette peine qui m'accable en écrivant ces lignes.
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