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DanMachi ; rencontre entre la fantasy et l'univers de la culture pop japonaise !
Avec DanMachi - La Légende des Familias, les éditions Ofelbe nous font découvrir un univers régi par ses propres règles, où la singularité de la culture pop japonaise revisite les codes de la fantasy !
Nombreux sont les aventuriers d'Orario à partir en quête de pouvoir et de fortune dans ce dédale infesté de monstres.
Bienvenue à Orario, la Cité-Labyrinthe où cohabitent dieux et humains. Sous cette ville, les aventuriers, bénis des dieux, partent en quête de gloire et de fortune dans le Donjon ; un dédale mystérieux infesté de monstres.
C'est là que nous rencontrons Bell Cranel, un jeune provincial de 14 ans, qui malgré son manque d'expérience part à la conquête du Donjon sous la protection d'Hestia, une déesse impopulaire. Le hasard faisant mal les choses, il tombe sur un terrible Minotaure. Il est alors sauvé par Aiz Wallenstein, une belle épéiste, dont il tombe immédiatement amoureux. Galvanisé par ce nouveau sentiment, il repart à l'assaut du mystérieux labyrinthe.
Était-ce une erreur de vouloir suivre les pas de cette fille ? Le chemin qui mènera notre jeune héros vers son âme soeur risque en tout cas d'être semé d'embûches...
Sans aucun doute le meilleur des trois livre paru jusqu'à présent ! Vivement la suite !
Je remercie vivement les éditions Ofelbe, ainsi que Guillaume pour cet envoi et leur confiance.
J'étais restée un peu sceptique à la suite du premier tome, mais le deuxième avait su me convaincre et haut la main. Je trépignais donc d'impatience en attendant ce troisième opus et quel a été mon plaisir de me replonger dans cette saga !
Alors que Bell continue de prendre la fuite à chaque fois qu'il se retrouve en tête-à-tête avec la Princesse à l'épée, celle-ci, contre toute attente, lui propose de l'aider, durant une semaine, à s'entraîner au combat. Mais il est loin de se douter de ce qui se trame dans son dos. Effectivement, Freya, la déesse de la Beauté, semble de plus en plus intéressée et intriguée par le jeune garçon. Bien décidée de le mettre à l'épreuve, elle semble prête à tout pour le voir affronter une nouvelle fois le Minotaure.
DanMachi n'est pas un roman très épais, mais il possède des chapitres extrêmement longs. Quand on n'aime pas s'arrêter en plein milieu d'un chapitre, ça peut vite poser problèmes. Et même après deux tomes, quand je débute un chapitre, je suis impressionnée par son nombre de pages et j'ai cette petite appréhension, cette peur que le rythme soit cassé. Puis finalement, on est tellement addict à ce qu'on lit, que les pages glissent entre nos doigts à une vitesse folle.
J'apprécie de plus en plus notre petit héros. Il est vrai que dans le premier tome, je n'arrivais pas à m'attacher à lui, à le cerner. Mais plus on avance dans l'histoire, plus je le trouve mature et plus fort. Son caractère s'affirme de plus en plus et le rend encore plus adorable.
Lili, c'était mon coup de cœur du second tome et même si elle n'est plus autant mise à l'avant dans celui-ci, tout comme Hestia, elle reste un personnage que j'affectionne tout particulièrement. Son histoire est touchante et elle a un petit côté mignon ou kawaii comme diraient les Japonais que j'affectionne tout particulièrement.
Quant à Aiz, je reste encore campé sur mes positions. C'est une aventurière vraiment intrigante et qui derrière son côté de femme forte, impénétrable et indépendante, cache bien plus. Elle est pleine de mystère et j'ai hâte d'en apprendre un peu plus sur elle.
Ce que j'ai le plus aimé avec ce tome, c'est la facilité que j'ai eue à rentrer dans l'histoire et à me projeter toutes les scènes comme-ci je regardais l'anime derrière mon écran d'ordinateur.
Certains diront qu'il n'y a pas assez d'actions à couper le souffle et que quelques passages peuvent sembler répétitifs, mais de mon point de vue, c'est tout le contraire. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant, j'ai adoré suivre les sessions d'entraînements entre Aiz et Bell ou encore le suivre dans le Donjon avec Lili.
De plus, on attend ce fameux affrontement entre le héros et le Minotaure. On sait qu'il ne devrait pas tarder et cette attente nous tient en haleine.
Et quand cette scène arrive enfin, j'ai retenu mon souffle jusqu'à la toute dernière minute. Malgré la progression incroyable de Bell, il est loin de faire face contre cette créature. Pourtant, le combat reste très serré jusqu'au bout. J'avais l'impression de faire partie intégrante du roman, de voir l'affrontement de mes propres yeux et je me suis même surprise à soutenir Bell à plusieurs reprises. Je n'aurais pu espérer mieux comme fin.
Pour conclure, ce troisième tome de la saga DanMachi est pour moi une vraie réussite, un petit bijoux qui est bien loin d'avoir livré toutes ses surprises et qui cache plus d'un tour dans ses pages. Je pense très sincèrement que les tomes suivants monteront en crescendo et continuerons de nous offrir des moments de lecture tous aussi palpitants et entraînants.
J'ai vraiment hâte de tenir le quatrième tome entre mes mains !
Un grand merci à Guillaume ainsi qu’à l’équipe d’Ofelbe pour cette lecture et pour leur confiance. Aaaah comme l’univers de Dan Machi m’avait manqué ! Il fait partie de mes titres préférés dans cette maison d’édition, et jusqu’à maintenant, chaque tome m’a apporté un divertissement sans cesse renouvelé. Le tome 3 n’a pas dérogé à la règle, loin de là. Et puis… vous avez vu cette couverture ? Un petit bijou !
Si vous n’avez pas lu les tomes précédents, je vous conseille de passer directement au paragraphe suivant, au risque de vous spoiler. Rappelez-vous, dans le premier opus, Bell s’était couvert de ridicule lorsque la belle Princesse à l’épée, Aiz Wallenstein, l’a sauvé des griffes d’un Minotaure. Depuis, il a pris garde de la fuir comme la peste, tout en nourrissant pour elle une admiration sans limites. Ici, la donne change et Aiz est très intriguée par l’évolution prodigieuse du jeune aventurier. En effet, en l’espace de trois semaines, ses capacités semblent s’être décuplées et elle est curieuse d’en connaître la cause. C’est pourquoi elle décide de l’aider à s’améliorer en lui prodiguant ses conseils. Ce que Bell ignore, c’est que Freya, la Déesse de l’Amour, n’en a pas terminé avec lui et compte le tester de la manière la plus difficile qui soit, en le confrontant à son pire cauchemar : le terrible Minotaure.
Dan Machi a cette fabuleuse capacité de m’alpaguer dès les premières pages. C’est le genre de roman qui s’engloutit tout rond et que l’on est déçu de terminer aussi vite. Combien de fois n’ai-je pas regardé avec dépit le nombre de pages qu’il me restait à lire, frustrée de savoir qu’il faudra encore attendre pour avoir la suite ? Cette saga m’est de plus en plus chère, et tout particulièrement parce que je m’attache chaque fois un peu plus aux personnages.
Bell, égal à lui-même, n’a rien perdu de son authenticité et de son naturel. Il est d’une rigueur et d’une volonté à toute épreuve, et son caractère expressif le rend particulièrement adorable. On sent que ce n’est pas encore tout à fait un homme et qu’il se cherche, au travers de ses épreuves passées comme présentes. C’est un garçon vraiment réfléchi que je prends plaisir à suivre.
Il est toujours accompagné de cette brave Lili. Difficile de faire plus mignonne et attendrissante ! Plus en retrait, cette fois, on entraperçoit Hestia, qui repousse de plus en plus les limites de la possessivité. J’ai eu beaucoup plus de mal avec elle dans ce nouvel opus, car sa jalousie, presque maladive, la rend très agaçante. Bell est un peu comme son trophée qu’elle ne compte partager avec personne (sûrement son petit côté déité qui ressort).
Et enfin le personnage qu’il me tardait de suivre : Aiz. Durant les deux premiers tomes, elle nous apparaît très mystérieuse et indéchiffrable. Et dans le troisième tome, ça n’a pas changé d’un iota. Mais Fujiro Omori lève un peu le voile sur cette personnalité saisissante. Aiz m’a intriguée et j’ai beaucoup apprécié son caractère de femme forte et indépendante. Elle est loin d’être aussi futile que les autres figures féminines qui bourdonnent autour de Bell.
Concernant l’histoire, certains trouveront peut-être qu’il ne se passe pas grand-chose, mis à part dans la dernière partie. Je ne l’ai pas du tout ressenti comme ça. Au contraire, je me suis passionné pour les entraînements entre Bell et Aiz, j’ai tenté de comprendre les sombres desseins de Freya et j’ai appréhendé tout le long, en prévision de l’affrontement final. Car il est très vite évident que l’on tend vers un combat épique et que Bell semble encore un peu trop vulnérable pour affronter une créature mythique à lui tout seul.
Parlons-en, de cette fin. Du grand spectacle, des scènes imagées et une tension permanente. Je me suis vue assister à cette bataille, j’y étais ! Et après l’avoir attendue avec impatience, je n’ai absolument pas été déçue. Les statistiques de Bell augmentent à une vitesse prodigieuse, mais ce n’est pas pour autant qu’il est théoriquement capable d’affronter un Minotaure. De fait, l’issue reste incertaine et on devine qu’il lui a encore beaucoup de chemin à parcourir.
En résumé, la saga Dan Machi me plaît avant tout parce que chaque tome nous offre des perspectives différentes et ne néglige aucun personnage. Le tome 3 est une complète réussite, un Light Novel extrêmement addictif avec des personnages contrastés et un récit toujours plus entraînant. Je n’ai pas envie de quitter cet univers de sitôt !
Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/fantasy---merveilleux/dan-machi-la-legende-des-familias-fujino-omori
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